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 Cancer du sein

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Tite Prout
Maître de Cérémonie du forum
Tite Prout


Nombre de messages : 1737
Localisation : Montréal
Date d'inscription : 01/06/2005

Cancer du sein Empty
01102007
MessageCancer du sein

Cancer du sein





Voir la section spéciale Cancer



Cancer du sein Cancer_sein_pm-1

  • Traitements possibles
  • Description médicale
  • Symptômes
  • Personnes à risque


  • Facteurs de risque
  • Prévention
  • Traitements médicaux
  • Traitements non conventionnels


  • Approches à considérer
  • L'opinion de notre médecin
  • Sites d’intérêt
  • Références

Traitements possibles

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Traitements médicaux

Chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie et thérapie hormonale.Traitements non conventionnels

[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url]Alimentation, acide gamma-linolénique, mélatonine.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein Img_critSymbole[/url]
[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein AutresApproches[/url]Soutien psychothérapeutique.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein UsageTraditionnel[/url]Astragale, troène de Chine.Description médicale

[url=javascript:;]haut Cancer du sein Btn_fleche_bleu_top[/url]
Il
existe différentes formes de cancer du sein, chacune ayant une
évolution qui lui est propre. Pour saisir ce dont il est question,
précisons que le sein comprend, outre du tissu graisseux, des glandes
mammaires divisées en lobules; de ces lobules part un système de canaux
galactophores qui achemine le lait au mamelon.

  • Appelé carcinome canalaire, le cancer le plus courant - environ 70 % des cas - se forme dans les canaux galactophores.
  • Dans le carcinome lobulaire - 10 % des cas -, des lésions apparaissent dans les lobules.
Note. Ces deux types de cancer peuvent se présenter sous une forme in situ
(localisée) ou invasive (qui se répand dans les tissus gras du sein
puis migre vers d'autres parties de l'organisme via le système
lymphatique ou le sang).

  • Les carcinomes médullaires, colloïdes ou tubulaires, des cancers à évolution lente, constituent environ 12 % des cas.
  • Le carcinome inflammatoire - 1 % à 4 % des cas - est le cancer du sein le plus agressif et le plus difficile à traiter parce qu'il se propage rapidement.
  • La maladie de Paget,
    qui représente 1 % des cas, se forme dans les canaux galactophores pour
    s'étendre à l'aréole, où se manifestent des éruptions similaires à
    celles de l'eczéma; diagnostiqué assez tôt, ce cancer n'aura pas le
    temps de se propager aux glandes.
[url=javascript: popupWindowLienInterne('../../P/Loupe/Fiche.aspx?doc=sein_gr.gif', 'popup', 600, 400)]Cancer du sein Cancer_sein_pm-2[/url]Si
l’on ne connaît pas les causes précises du cancer en général, on
connaît certains éléments qui peuvent accentuer la progression d'une
tumeur. Plus précisément, on sait qu'un grand pourcentage des cancers
qui ont leur origine dans des tissus sensibles aux hormones
sexuelles - c'est le cas des seins - sont « hormonodépendants ». Ce qui
veut dire qu'ils peuvent être stimulés par des hormones naturelles
comme les oestrogènes, surtout, ou la progestérone (on parlera alors, selon le cas, d'une tumeur estrogen receptor-positive ou progesterone receptor-positive).
On peut savoir si les tissus contiennent un grand nombre de
« récepteurs hormonaux » en pratiquant une biopsie du sein. Lorsque
c'est le cas, les oestrogènes ont tendance à se lier à ces récepteurs
et donc à « occuper » le sein. Or les oestrogènes stimulent la division
des cellules, mécanisme de base du cancer. Le ministère de la
Santé du Canada affirme que le cancer du sein est le cancer le plus
diagnostiqué chez les femmes au pays (mais, le cancer du poumon est la
première cause de décès par cancer chez les femmes). Une femme sur neuf risque d’être atteinte d’un cancer du sein au cours de sa vie. Les hommes aussi peuvent en être touchés, mais rarement.L'[url=javascript:;]incidence[/url]
(le nombre de nouveaux cas), qui a progressé légèrement, mais
régulièrement, au cours des trois dernières décennies (autant chez les
hommes que chez les femmes), semble s'être stabilisée depuis une
dizaine d'années. Le taux de mortalité, par contre, a continuellement
diminué depuis 1986.L'observation démontre que le cancer est
presque toujours fatal s'il n'est pas soigné à temps, mais on dit aussi
que le cancer du sein est souvent « chronique », en ce sens que les
patientes avec un cancer de stade I ou II peuvent vivre encore 20 ans
ou plus. Quant aux chances de guérison, elles dépendent du type de
cancer et de son stade de développement au moment où l’on entreprend
les traitements. Symptômes

[url=javascript:;]haut Cancer du sein Btn_fleche_bleu_top[/url]

  • Une bosse dure au sein, qu'elle soit fixe ou mobile.
  • Des écoulements provenant du mamelon.
  • Une rétraction du mamelon et la présence d'une zone de peau irrégulière ou bosselée.
  • Une douleur persistante au sein.
  • Une petite crevasse sur la peau du sein.
Personnes à risque

[url=javascript:;]haut Cancer du sein Btn_fleche_bleu_top[/url]
Un
certain nombre d'éléments non modifiables multiplient d'une manière
importante - par rapport à la population générale - les risques pour
une personne d'être atteinte de ce cancer.

  • Sexe. Moins de 1 % des cas de cancer du sein touchent des hommes, et ceux-ci ont en général plus de 60 ans.
  • Âge.
    La maladie affecte très rarement les femmes de moins de 30 ans. Mais
    plus une femme avance en âge, plus le risque de développer un cancer du
    sein augmente.
  • Maladie bénigne du sein avec atypies cellulaires. Les femmes qui ont déjà souffert de cette affection sont plus susceptibles d'être atteintes d'un cancer.
  • Hérédité.
    Lors d'une recherche menée de 1976 à 1988 par des médecins de la
    Harvard School of Public Health auprès de 117 988 femmes de 30 ans à
    55 ans, les risques de souffrir du cancer du sein ont été quantifiés de
    la façon suivante :

    -7 % quand la mère et les soeurs n'ont jamais souffert de ce cancer;

    -10 % quand la mère en a déjà souffert;

    -12,5 % quand la mère en a souffert avant l'âge de 50 ans;

    -13 % quand une soeur en a souffert;

    -17 % quand la mère et une soeur en ont souffert.
Par
ailleurs, on croit que de 5 % à 10 % des cancers du sein sont causés
par une anomalie de l'un ou l'autre de deux gènes, appelés BRCA1 et
BRCA2. En fait, chez les femmes possédant l'un de ces gènes défectueux,
il y a de 56 % à 87 % de risque de souffrir d’un cancer du sein, et de
20 % à 60 % de souffrir d’un cancer des ovaires. Il existe des tests
pour vérifier si une femme issue d'une famille à risque est elle-même
porteuse d'un de ces gènes défectueux. Les conditions suivantes peuvent augmenter les risques de cancer du sein par rapport à la population générale :

  • Nulliparité. Le fait de ne pas avoir eu d'enfant ou d'avoir donné naissance seulement après 30 ans.
  • Haut taux d'oestrogènes.
    Les oestrogènes agissent sur les cellules du sein (et du système
    reproducteur) et les amènent à proliférer. Certaines femmes possèdent
    naturellement un taux élevé d'oestrogènes (par exemple, les personnes
    avec un surplus de poids), ou y sont exposées plus longtemps parce
    qu'elles ont commencé leurs menstruations tôt ou les ont terminées
    tard.
Facteurs de risque

[url=javascript:;]haut Cancer du sein Btn_fleche_bleu_top[/url]
Dans le cadre d'études, les facteurs suivants ont été clairement associés à un risque plus élevé de cancer du sein.

  • Absorption d'oestrogènes. Les hormones, et plus particulièrement les oestrogènes, pourraient précipiter un cancer. Les contraceptifs oraux (la pilule) et l'hormonothérapie substitutive
    (à la ménopause) fournissent tous deux un apport supplémentaire
    d'oestrogènes. Certaines données indiquent que l'hormonothérapie à
    oestrogènes seulement accroît les risques de souffrir d’un cancer du
    sein dans une proportion d'environ 10 % pour chaque cinq années
    d'utilisation, tandis que l'hormonothérapie comprenant aussi de la
    progestérone augmente ce risque d'environ 24 % pour chaque cinq années
    d'utilisation28.
  • Alcool. La consommation d'un verre d'alcool
    ou plus par jour augmente de 30 % les risques du cancer du sein
    (observation tirée d'une étude prospective auprès de 490 000 hommes et
    femmes de plus de 30 ans, sur une période de neuf ans1).
    L'alcool stimule la production d'oestrogènes. Cela dit, des données
    récentes révèlent que les cancers du sein liés à une consommation
    d'alcool se rencontrent surtout chez les femmes dont l'alimentation est
    déficiente en acide folique (ou vitamine B9);
    une femme qui boit de l'alcool régulièrement devrait sans doute
    considérer les multivitamines contenant de l'acide folique comme mesure
    préventive33.
  • Obésité. Les femmes de plus de 50 ans qui souffrent d'obésité sont plus à risque que les femmes du même âge d'un poids normal.
  • Radiation.
    On sait que les femmes qui ont subi des doses élevées de radiation (par
    rayons-X) au thorax ont plus de risque d’être atteinte d’un cancer du
    sein.
Les recherches analysent plusieurs autres facteurs,
mais pour le moment, le milieu médical ne considère pas les données à
leur sujet comme concluantes.

  • Graisses alimentaires.
    Sur les animaux de laboratoire, les diètes fortes en graisses
    augmentent le risque de cancer des tissus mammaires. On sait également
    que les taux les plus bas de cancer du sein surviennent dans les pays
    où la diète traditionnelle contient moins de 20 % de ses calories en
    gras.
  • Produits laitiers. La consommation de produits
    laitiers n’aurait pas d’impact sur le risque de cancer du sein, d’après
    une synthèse d’études parue en 200451. Certains produits
    laitiers, comme le lait entier et les fromages, ont été suspectés
    d’augmenter le risque parce qu’ils sont riches en gras saturés. La
    contamination du lait par des pesticides, dont certains auraient des
    propriétés cancérigènes, a également semé le doute. Par ailleurs,
    l’hypothèse que le lait ait un effet protecteur en raison du calcium et
    de la vitamine D qu’il contient a déjà été soulevée. Cependant, en
    analysant l’ensemble des données, des chercheurs américains en sont
    venus à la conclusion que les produits laitiers n’influencent pas la
    formation du cancer du sein.
  • Stress. Bien qu'il soit
    impossible de montrer un lien de cause à effet, une synthèse des
    recherches sur les facteurs psychologiques et le cancer révèle un lien
    possible entre des pertes importantes (deuils, séparations) et
    l’apparition de tumeurs malignes.
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Cancer du sein :: Commentaires

Tite Prout
Re: Cancer du sein
Message Lun 1 Oct - 19:39 par Tite Prout
Prévention

[url=javascript:;]haut Cancer du sein Btn_fleche_bleu_top[/url]


Prévention primaire

La prévention primaire a pour objectif d'empêcher la maladie de se déclarer.Les
personnes qui se savent à risque ont tout intérêt à éliminer les
facteurs susceptibles de leur nuire et à entreprendre certaines
pratiques de nature à réduire encore davantage ces risques. Précisons,
en effet, que les personnes à risque possèdent une prédisposition, mais
pour que cette prédisposition se manifeste en un cancer, il faut que
d'autres facteurs soient présents. Rappelons, par ailleurs, que 70 %
des femmes atteintes de cancer du sein ne font pas partie de la
population à risque et ne comptent aucun des facteurs de risque
reconnus. On peut donc dire que toutes les femmes ont intérêt à adopter
les pratiques préventives. Prévention par l'alimentation[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteBienDocumentee[/url] Alimentation saine.
Selon une synthèse de 12 études rétrospectives sur la relation entre la
diète et le cancer du sein, des chercheurs ont émis l'hypothèse que le
nombre de cancers du sein qui pourraient être prévenus par une
alimentation adéquate s'élevait à 24 % chez les femmes ménopausées et à
16 % chez les femmes en [url=javascript:;]périménopause[/url]34. Le Canadian National Breast Screening Study, une étude menée de 1982 à 1987 auprès de 56 837 femmes, a observé une [url=javascript:;]incidence[/url] allant jusqu'à 30 % moins de cancer du sein chez celles ayant l'alimentation la plus adéquate39.
Ces deux recherches notaient la consommation de fibres alimentaires, de
gras saturés et de fruits et de légumes riches en vitamines A et C. [url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Fruits et légumes.
Les données épidémiologiques de la Nurses' Health Study (une cohorte de
83 234 femmes) révèlent que les femmes en périménopause qui consomment
cinq portions et plus de fruits et légumes par jour auraient 23 % moins
de risque d'être atteintes d'un cancer du sein que celles qui en
consomment moins de deux portions; si ces femmes ont une prédisposition
génétique au cancer du sein, leurs risques seraient diminués de 71 %5.
Toutefois, une analyse plus récente de huit recherches n'a pas révélé
de corrélation significative entre la consommation élevée de fruits et
de légumes, à l'âge adulte, et la baisse du risque de cancer du sein40.
Certaines recherches constatent que le facteur déterminant dans une
diète riche en fruits et légumes (pour la prévention du cancer du sein)
serait leur apport en acide folique14,15. On en trouve dans un certain nombre d'aliments ainsi qu'en suppléments. Voir la fiche Vitamine B9.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Brocoli et autres légumes de la famille des crucifères.
Une étude épidémiologique menée en Suède auprès de 5 482 femmes, dont
un peu plus de la moitié souffrait de cancer du sein, révèle que la
consommation de crucifères pourrait réduire de 20 % à 40 % l'incidence
de ce cancer36. Les crucifères contiennent notamment du sélénium et des glucosinolates, composés [url=javascript:;]phytochimiques[/url]
dont l'effet anticancer a été beaucoup observé en laboratoire. Par
ailleurs, des recherches semblent indiquer que certains composés
phytochimiques des crucifères auraient le pouvoir de modifier de façon
positive le métabolisme des oestrogènes chez les femmes en santé37.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Légumes colorés.
Les légumes contenant du bêta-carotène (jaunes, orange et vert foncé)
semblent avoir un impact positif sur la prévention du cancer du sein
chez les femmes en périménopause que l'hérédité met à risque9.

Attention


Les suppléments de bêta-carotène sont déconseillés parce que leur effet est peut-être plus néfaste que positif10.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Tomates et pamplemousses roses.
Plusieurs recherches épidémiologiques ont révélé que les Américains qui
consommaient beaucoup d'aliments à teneur élevée en lycopènes (surtout
les tomates cuites et, dans une moindre mesure, les pamplemousses
roses) étaient moins susceptibles d'être atteints de certains types de
cancer. Sans être affirmative, une synthèse de 72 recherches indique
que le lycopène pourrait aider spécifiquement à la prévention du cancer du sein13.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Grains complets.
Une diète riche en fibres obtenues de grains complets (seigle, riz brun
et blé entier, par exemple) pourrait réduire l'incidence de plusieurs
cancers, dont celui du sein6,7. Divers mécanismes seraient en cause. [url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Huile d'olive. Les personnes qui en consomment régulièrement une quantité supérieure à la moyenne semblent moins souffrir de cancer du sein8.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Réduction des gras.
À la mammographie, l'apparence des tissus mammaires varie selon sa
composition, le gras paraissant plus sombre que les tissus de
structure; or, on détecte davantage de cancers du sein chez les
personnes dont les tissus mammaires révèlent une plus grande quantité
de tissus gras. Dans une recherche sur la densité mammaire, 817 femmes
ont suivi pendant deux ans une diète faible en gras et les
mammographies ont révélé une réduction de zones sombres35.
Compte tenu du lien possible entre les graisses alimentaires et le
cancer du sein, de nombreux spécialistes recommandent d'en réduire la
consommation à moins de 25 % des calories totales : éviter les graisses
animales, les graisses polyinsaturées (plusieurs huiles végétales) et
les huiles hydrogénées (margarines et shortenings). [url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Phytoestrogènes (soya et graines de lin).
Il semble que, quand il n'y a pas assez d'oestrogènes dans l'organisme,
les phytoestrogènes comblent une partie des besoins et que, quand il y
a trop d'oestrogènes, les phytoestrogènes peuvent bloquer partiellement
leur effet négatif. L'alimentation traditionnelle au Japon contient
environ 4,5 fois plus de phytoestrogènes que la diète nord-américaine,
ce qui pourrait expliquer, en partie, le taux moins élevé de cancer du
sein chez la population japonaise. Le soya
est l'une des plus importantes sources de phytoestrogènes. Lors de
recherches réalisées sur des rats, la consommation de soya a permis de
limiter la croissance de tumeurs aux glandes mammaires.

On sait aussi que la lignane (composante de certaines plantes comme les
grains de seigle, de blé, de sésame ou de lin) se transforme en
phytoestrogène dans l'intestin humain au cours de la digestion. Des
recherches menées depuis plusieurs années par l'University of Minnesota
indiquent qu'une consommation quotidienne de quelques grammes de
graines de lin réduit la teneur en marqueurs oestrogéniques liés au
cancer du sein11.

Toutefois, les résultats des recherches sur les phytoestrogènes sont
parfois contradictoires, et leur effet préventif est donc considéré,
pour le moment, comme hypothétique.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Thé vert.
Les auteurs d’une méta-analyse qui incluait plusieurs études
épidémiologiques ont conclu que le fait de boire cinq tasses ou plus de
thé vert par jour tend à prévenir le cancer du sein12. Toutefois, l’effet protecteur était faible, et non significatif du point de vue statistique.Autres modes de prévention
Tite Prout
Re: Cancer du sein
Message Lun 1 Oct - 19:40 par Tite Prout
Autres modes de prévention[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteBienDocumentee[/url] Activité physique et poids santé.
Selon une étude du Centre international de recherche sur le cancer
(CIRC), une filiale de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), un
tiers des cancers du sein sont liés à l'inactivité et au gain de poids.
Plusieurs recherches se sont intéressées au rapport quantitatif entre
l'activité physique et la réduction des risques; malheureusement, trop
de variables entrent en ligne de compte pour obtenir des guides précis.
Mentionnons tout de même une de ces recherches : lors d'une étude
épidémiologique auprès de 6 160 femmes menée de 1971 à 1984 (aucune
n'avait de signes de cancer du sein en 1971), on a classé ces personnes
selon leur niveau d'activité physique à long terme : bas, moyen, élevé.
Chez les femmes de 50 ans et plus en 1984, on a observé que celles avec
un profil d'activité élevé avaient 67 % moins de cancer du sein que les
femmes avec un profil d'activité bas16. Ce que les experts
semblent reconnaître, pour le moment, c'est que le fait d'être
modérément active pendant au moins quatre heures par semaine permet
probablement de réduire le taux d'oestrogènes et les risques de cancer
du sein. Notons que les activités domestiques et les déplacements sont
considérés comme des activités physiques.

Une chose est certaine : le surpoids constitue un facteur de risque
prouvé pour le cancer du sein, et l'activité physique régulière permet
de maintenir le poids santé. On croit que l'excès de poids contribue à
une production accrue des oestrogènes (elles sont produites par les
ovaires mais aussi par les cellules adipeuses). Par ailleurs,
l'activité physique semble limiter la quantité d'oestrogènes produite
par les ovaires. Dr Andrew Weil recommande quant à lui la pratique quotidienne de 30 minutes d’exercice physique pour prévenir le cancer du sein.[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein UsageTraditionnel[/url] Pharmacopée chinoise. En Médecine traditionnelle chinoise, on utilise au moins quatre préparations de plantes médicinales pour leur effet antioestrogénique :

- le Dang Gui Shao Yao San (chez les rats, supprime la production d'une des oestrogènes, l'oestradiol);

- le Gui Zhi Fu Ling Wan (chez les rats, réduit de 50 % le niveau d'oestradiol dans le sang);

- le Xiao Yao San;

- le Er Chen Tang
(on a observé que ces deux dernières réduisent de façon marquée le
niveau d'oestradiol dans la salive de femmes avec une maladie du sein
proliférante).[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Allaitement.
Les scientifiques savent déjà que l'allaitement contribue à réduire le
taux d'oestrogènes, et quelques recherches font état de son impact
possible sur une incidence moins forte du cancer du sein. Selon une
étude récente auprès de 808 femmes chinoises, une période prolongée
d'allaitement (plus de 24 mois) et la durée totale de l'allaitement au
cours de la vie permettent de réduire de 24 % à 47 % le risque relatif
de cancer du sein, comparativement à des femmes ayant allaité d'un mois
à six mois17.Voir aussi notre fiche Cancer pour les modes de prévention généraux (non spécifiques au cancer du sein) ainsi que notre fiche Cancer - Recommandations alimentaires.Prévention pharmacologiqueAspirine.
D’après de vastes études de cas témoin, les femmes qui prennent une
aspirine par jour seraient moins à risque de souffrir d’un cancer du
sein de type hormonodépendant41,42. Le risque diminuerait
d’environ 28 % chez les femmes qui prennent quotidiennement de
l’aspirine, comparativement à celles qui n’en prennent pas49.
À la Clinique Mayo, on recommande aux femmes de discuter de cette
option avec leur médecin, d’autant plus que l’aspirine protège aussi
contre les maladies cardiovasculaires et vraisemblablement d’autres
types de cancer50. L’ibuprofène (Advil®, Motrin®), un autre
anti-inflammatoire, réduirait aussi le risque de cancer du sein, mais
pas aussi efficacement que l’aspirine.Tamoxifène. En ce
moment, le tamoxifène - dont la fonction est de bloquer les effets des
oestrogènes - est encore utilisé pour réduire le risque de cancer du
sein chez des femmes à très haut risque. Rappelons que Santé
Canada désapprouve l’usage de ce médicament à titre préventif, estimant
que les risques associés à la prise de tamoxifène dépassent ses
avantages potentiels4. En effet, le tamoxifène augmente
légèrement le risque de maladies graves : le cancer de l’endomètre, le
sarcome utérin, l’embolie pulmonaire et la thrombose veineuse.
L’American Cancer Society estime que le tamoxifène peut être utilisé en
prévention chez des femmes à haut risque de cancer du sein, bien
informées des dangers liés à la prise de ce médicament.Prévention probablement inefficaceAlliacés.
L'usage prête de grandes vertus à l'ail et aux autres produits de la
même famille, et des recherches en laboratoire semblent indiquer qu'ils
possèdent une action anti-mutagène. Mais la Netherlands Cohort Study
sur le lien entre la diète et l'incidence (le nombre de nouveaux cas)
du cancer, menée depuis 1986 auprès de 120 852 Néerlandais âgés de
55 ans à 69 ans, n'a trouvé aucune corrélation entre la consommation
d'oignon, de poireau, d'ail ou de suppléments d'ail et la baisse du
risque de cancer du sein18. Prévention secondaire La
prévention secondaire a pour objectif de détecter le plus tôt possible
le cancer afin d'enrayer sa progression et, si possible, de le guérir.Observation de toute anomalie.
Être à l’affût de tout changement au sein : bosse, écoulement,
rétraction du mamelon, douleur, etc. Pour ce faire, palper les seins et
les examiner régulièrement. À noter que la technique de l’autoexamen
des seins n’est plus recommandée par la Société canadienne du cancer.
Consulter notre nouvelle Autoexamen des seins : plus nuisible qu’utile.Examen par un professionnel.
Les palpations des seins par le médecin constituent le principal mode
de diagnostic. La Société canadienne du cancer recommande que cet
examen soit accompli au moins tous les deux ans, dès l’âge de 40 ans.Mammographie. Santé Canada recommande le dépistage annuel par la mammographie chez les femmes âgées de 50 ans à 69 ans52.
Son efficacité à réduire la mortalité dans cette tranche de la
population est appuyée par des études. Le Groupe d’étude canadien en
médecine clinique préventive déconseille la mammographie chez les
femmes âgées de 40 ans à 49 ans, étant donné l’absence d’avantages et
les préjudices possibles. En effet, l’exposition aux radiations et les
biopsies qui peuvent suivre un résultat faussement positif pourraient
induire la maladie53. Traitements médicaux

[url=javascript:;]haut Cancer du sein Btn_fleche_bleu_top[/url]
Le
traitement du cancer s'opère sur deux plans : local (sur la tumeur
elle-même) ou systémique (sur l'ensemble de l'organisme, pour empêcher
les métastases). La chirurgie et la radiothérapie opèrent localement.
La chimiothérapie touche l'ensemble de l'organisme. Chirurgie

Pour un cancer du sein, les options chirurgicales sont la mastectomie (ablation totale du sein touché) ou la tumorectomie,
appelée aussi chirurgie mammaire conservatrice (ablation de la tumeur
et d'une partie des tissus sains qui l'entourent). La grosseur de la
tumeur est le facteur principal permettant de choisir une chirurgie ou
l'autre. Après la chirurgie, il se peut que l'oncologue administre
également de la radiothérapie (pour diminuer les risques de récidive
locale) et de la chimiothérapie (surtout aux femmes avec des ganglions
positifs). Dans le cas des tumeurs dites hormonodépendantes, on peut
également choisir de retirer les ovaires afin de stopper la majeure
partie de la production d'oestrogènes.
Tite Prout
Re: Cancer du sein
Message Lun 1 Oct - 19:41 par Tite Prout
Thérapie hormonale


On
dit aussi thérapie endocrinienne. Cette forme de traitement est souvent
appropriée pour les patientes dont la tumeur au sein s'avère
hormonodépendantes. L'agent chimique le plus courant est le tamoxifène
(voir plus haut), que la patiente prend quotidiennement sous forme de
comprimés. Le tamoxifène bloque les oestrogènes hors des cellules
cancéreuses, ce qui peut réduire jusqu'à 30 % les risques de
récurrence. Notez que Santé Canada approuve l'usage « vigilant » du
tamoxifène pour traiter le cancer du sein, mais non pour le prévenir4. L'anastrozole,
commercialisé sous le nom d'Arimidex, a été annoncé fin 2001 comme
étant le remplaçant du tamoxifène. Il inhibe l'aromatase, une enzyme
qui sert à la conversion des androgènes en oestrogènes et bloque ainsi
la production d'oestrogènes. Il semble plus efficace que le tamoxifène
et ses effets secondaires sont moindres.
Traitement anti-angiogénèse


L'angiogénèse
est le phénomène par lequel le corps développe de nouveaux vaisseaux
sanguins autour d'une tumeur. Comme ces vaisseaux permettent à la
tumeur de se nourrir, les chercheurs explorent maintenant la
possibilité d'enrayer le phénomène d'angiogénèse de façon à « affamer »
la tumeur. Les traitements médicaux de cet ordre sont encore au niveau
expérimental.
Traitements non conventionnels

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Voir aussi la fiche Cancer pour les traitements non conventionnels non spécifiques au cancer du sein.
[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Alimentation.
Quelques recherches démontrent qu'une diète riche en légumes pourrait
améliorer le pronostic après un diagnostic de cancer du sein38.
Voir aussi le texte Cancer - Recommandations alimentaires.
Suppléments


[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Mélatonine. Plus de 40 recherches de laboratoire se sont penchées sur l'effet cytotoxique de la mélatonine sur les cellules cancéreuses. On a notamment découvert qu'elle possède un effet inhibiteur sur les tumeurs du sein de type MCF-7 estrogen-responsive23.
Cette capacité de réduire la prolifération des cellules cancéreuses
pourrait être attribuable à son action anti-oestrogénique ou à son
effet sur l'agent naturel interleukine-224. Les données
portent à croire que de fortes doses de mélatonine combinées à
certaines formes de chimiothérapie ou à l'immunothérapie
(interleukine-2) peuvent aider à contrôler les tumeurs au sein25.
Par ailleurs, des recherches de laboratoire indiquent que la mélatonine
pourrait accroître l'effet inhibiteur du tamoxifène sur la
prolifération de certains types de cancer du sein27. Il va sans dire que la prise de mélatonine pour traiter un cancer devrait toujours se faire sous surveillance médicale.
[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein EfficaciteIncertaine[/url] Acide gamma-linolénique. Dans les cas de cancer du sein, l'acide gamma-linolénique, un acide gras essentiel de type oméga-6, pourrait activer la réaction de l'organisme au tamoxifène19.
[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein UsageTraditionnel[/url] Astragale (Astragalus membranaceus) et Troène de Chine (Ligustrum lucidum). Lorsqu'elles sont utilisées conjointement comme adjuvant thérapeutique, l'astragale
et le troène de la Chine pourraient accroître les chances de survie
chez les personnes souffrant d'un cancer du sein et qui suivent un
traitement de radiothérapie 20. Ces plantes sont surtout utilisées en Médecine traditionnelle chinoise.
Recherches
Coenzyme Q10. On a rapporté plusieurs cas anecdotiques de stabilisation, régression ou rémission d'un cancer attribués à la coenzyme Q10 (de 90 mg à 390 mg par jour, en complément des traitements classiques)43-45, mais, pour l'instant, aucun essai clinique contrôlé n'a exploré cet aspect46. On a déjà observé que les personnes atteintes de certains cancers ont de faibles taux de coenzyme Q10.
Approches à considérer

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[url=javascript:popupWindowLienInterne('../../../DocumentsProteus/PopupHTML/criteres_classification_nd.htm', 'Popup', 600, 400)]Cancer du sein AutresApproches[/url] Soutien psychothérapeutique.
En 1989, une recherche de l'Université Stanford révélait que le soutien
psychothérapeutique de groupe (toutes les semaines pendant un an),
conjointement avec l'autohypnose pour contrer la douleur, permettait
d'augmenter du double, environ, l'espérance de vie des femmes souffrant
d'un cancer du sein avec métastase32. Malheureusement, les
recherches subséquentes n'ont jamais donné de résultats aussi probants,
compte tenu, notamment, de la difficulté de contrôler toutes les
variables entre le groupe sous étude et le groupe contrôle.
L'opinion de notre médecin

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Lorsqu'elle
est possible, une chirurgie m'apparaît le plus souvent essentielle. Vue
sous un angle global et d'autoguérison, la chirurgie permet « d'acheter
du temps », de répondre à l'urgence, le temps de mettre en place une
approche globale. La radiothérapie afin de prévenir une récidive est
plus discutable, bien que bénéfique chez un grand nombre de femmes. La
chimiothérapie afin de prévenir des métastases éventuelles est aussi
très discutable, bien que statistiquement bénéfique. Des statistiques
adaptées à la situation particulière d'une femme sont souvent utiles
pour décider de façon éclairée. La chimiothérapie en présence de
métastases vise à guérir, non à prévenir. Son utilité est plus grande
en général. Ici aussi on vise à répondre à l'urgence. Aucune
approche médicale n'interdit d'utiliser d'autres moyens alternatifs
pour s'aider. L'approche médicale et une approche naturelle
d'autoguérison peuvent et ont souvent intérêt à être utilisées en même
temps. Dr Paul Lépine, M.D., D.O.

Sites d’intérêt

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Canada
Alliance canadienne pour la recherche sur le cancer du sein

L'Initiative canadienne pour la recherche sur le cancer du sein (ICRS)
a pour rôle d'encourager et soutenir la recherche de haut vol
concernant la prévention, le traitement et le contrôle du cancer du
sein. De nombreuses pages sont consacrées aux thérapies alternatives.
www.breast.cancer.ca
Femmes en santé
www.femmesensante.ca
Fondation canadienne du cancer du sein
www.cbcf.org
Fondation du cancer du sein du Québec
www.rubanrose.org
Fondation québécoise du cancer
www.fqc.qc.ca
Société canadienne du cancer
www.cancer.ca
France
Mouvement d’information sur la santé du sein (Miss)
www.info-santedusein.org
États-Unis
Breastcancer.org

Un site américain (en anglais) dirigé par des médecins et des femmes atteintes de cancer du sein
www.breastcancer.org
CancerNet et Office of Cancer Complementary and Alternative Medicine

Ces sites (en anglais) du National Cancer Institute (États-Unis)
contiennent de nombreuses pages sur les traitements alternatifs.
www.cancer.gov
www3.cancer.gov
International
Centre international de recherche sur le cancer

Le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC)
(L’International Agency for Research on Cancer (IARC)) est membre de
l'Organisation mondiale de la Santé.
www.iarc.fr



Recherche et rédaction : Lucie Dumoulin et Marie-Michèle Mantha, M.Sc.

Révision médicale
: Dr Paul Lépine, M.D., D.O.

Fiche modifiée :
septembre 2007


Références


Note
: les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à
jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne
introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour
retrouver l'information désirée.
Bibliographie
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Tite Prout
Re: Cancer du sein
Message Lun 1 Oct - 19:41 par Tite Prout
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accru d'accident cérébrovasculaire, d'embolie pulmonaire et de cancer
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Source: passeportsante.net
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