mihou Rang: Administrateur
Nombre de messages : 8092 Localisation : Washington D.C. Date d'inscription : 28/05/2005
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FAITES PAS LES CONS, CHOISISSEZ LA "FRANCE D'ABORD !"
[color=#000000]Si jamais vous souhaitiez choisir entre
la Dame du Poitou, Marie Ségolène Royal, François Bayrou et Nicolas Särközy y Nagy Bocsa, vous devrez avant tout choisir en conscience pour
la France. En clair, il faudra s’approprier un slogan vulgarisé par qui vous savez « La France , d’abord ! ».Bien entendu, il n’est ni question de banaliser, ni de vulgariser les idées du FN, chose qu’un candidat présenté comme républicain ne s’est pas gêner de faire, parvenant même à réhabiliter les fantômes du Pétainisme. Votre choix doit être made in France 100%, c'est-à-dire choisir le candidat ou la candidate qui incarne le mieux la nation française, tant par sa connaissance du terroir que par ses qualités humaines et intellectuelles. Votre bulletin a un poids significatif pour le futur, ne faites pas les cons ! Aujourd’hui,
la France a de multiples challenges à relever, à commencer par l’obligation de s’assumer dans sa dimension multiculturelle et pluri-confessionnelle. Aussi, elle devra surtout affronter les défis qui à elle, comme la mondialisation, la construction européenne et ses relations avec les pays du Sud, notamment ses anciennes colonies en Afrique. C’est dire si l’élection présidentielle 2007 ne peut être réduite à une déferlante de sondages et à une succession de petites phrases, de coups bas, de manipulations des médias au profit d’un candidat soutenu ouvertement par le CAC 40 et le MEDEF. Choisir un Président ou Présidente de
la République , c’est confier les destinées du pays à un Homme mûr, rassembleur, déterminé, à la probité morale éprouvée, responsable de ses actes et d’envergure irréprochable.Vous l’aurez compris, ce portrait robot se rapproche plus des deux candidats, Ségolène Royal et François Bayrou, à condition que ce dernier assume réellement son identité de démocrate chrétien de droite. Votre choix devra se faire entre ces deux personnalités différentes, mais qui partagent une vision commune :
la France unie et plus forte. A2N [color:0b9a=#000000:0b9a] Ségolène Royal comme le choix de la raison ! La Jeanne d’Arc du Poitou n’est plus à présenter. Fille de militaire, Présidente de
la Région Poitou Charentes. Avec un sens hors du commun, elle a montré dans la gestion de sa région Poitou-Charente des capacités indéniables reconnues même de ses adversaires. Mère de famille comblée et très respectueuse des valeurs familiales, 4 enfants, militante écologiste de la première heure en France, défenseur farouche de l’ordre juste et du gagnant. Elle incarne la France du mouvement et du changement. Femme politique au caractère affirmé ( il en faut dans un univers de machos) qui représente
la BRAVITUDE définissant l’Homme d’Etat. Son intelligence est grande, vive et non scolaire. Les accusations contraires qu’elle a subies, émanant de l’UMP et d’une presse aux ordres, sont absurdes : il suffit d’ouvrir le Canard Enchaîné pour en lire autant chaque semaine sur chaque candidat. Sa trajectoire dans le marécage de la rue de Solférino, ses victoires politiques, ses actions de ministre en témoignent ; Elle a la force d’âme demandée par la fonction. Aucune des attaques, de son camp ou des adversaires, ne l’a ébranlée. Face à un adversaire dont chacun sait qu’il est en permanence au bord de la rupture, et face aux louvoiements de l’habile tacticien / authentique conservateur du pseudo centre, elle continue de défendre l’équilibre inédit qu’elle propose aux Français ; Elle écoute beaucoup, mais n’est pas influençable, ce que nombre d’éléphants ont expérimenté à leurs dépens. Elle a le courage nécessaire pour ne pas se soumettre à M. Lagardère (Paris Match, JDD, Europe 1) ou M. Bouygues (TF1, LCI) ou leurs amis ; Elle est sincère, infiniment plus que le camelot aux multiples promesses, beaucoup plus que le manoeuvrier et sa fausse révolte. Elle est sincère mais, pas naïve, elle sait se taire ou entrer en elle-même ; elle est pacificatrice quand Sarkozy divise et provoque les troubles ; elle voit loin, très loin, et préparera
la France pour les 20 années à venir. Ségolène Royal a pris au sérieux le vote des Français le 21 avril 2002 (et le vote "non" au référendum européen). Elle sait que ce signal voulait dire quelque chose. Quelque chose de la crise de la politique : " Ne nous abandonnez pas, travaillez avec nous, pensez aux vrai problèmes ". Elle n’a jamais cru à l’alternance systématique. Elle a commencé sa campagne tôt. Elle a contraint le PS à écouter les Français. Elle a organisé une prise de parole des Français comme on n’en avait jamais connu hors périodes de révoltes. elle a pris en compte la parole des Français. Sa réponse est claire, incarnée dans une promesse traduite en 100 propositions :
d’abord le respect et la parole donnée au coeur de l’action politique. Politique par la preuve, politique dans la dignité, respect des électeurs et de la parole publique : elle attaque la crise à sa racine morale. ensuite le respect de
la France et donc le souci du réel : la dette, la croissance, les manques du service public, l’amour de la patrie, la reconnaissance des entrepreneurs, la dignité sans cesse rappelée des plus fragiles sont au coeur de son projet ; et surtout une véritable attention aux plus fragiles. Les "petites retraites" (que l’on a glosé sur ces mots !), les ouvriers de 50 ans dont les entreprises se délocalisent, les pays d’Afrique abandonnés par la France entre les mains de disctateurs, d’élites corrompues ou du FMI. Les femmes, les victimes des différentes formes de violence. Elle a compris que
la France est viciée par l’abandon de sa jeunesse, qui menace aujourd’hui cette jeunesse et toute
la France. Elle a décidé d’y remettre de l’ordre.
Une vraie révolte Car la révolte de Ségolène Royal est authentique. Trop souvent la gauche a pris, par le passé, des pauses. Trop souvent, complexée par la droite, elle a voulu donner des gages de bonne gestion avant de se confondre au sein des élites, top souvent elle s’est contentée de révoltes culturelles, de rebellions faciles. Ségolène Royal a eu froid, a connu la pauvreté, a connu l’injustice, a été une provinciale boursière dans les écoles du VII e arrondissement. Et elle ne l’a pas oublié. Ses révoltes sont authentiques. Elle sait pour quoi elle se bat. Elle sait pour qui elle se bat. Sa boussole est ferme.Une projet de gauche moderne Son projet est donc celui d’une gauche modernisée, ce qui ne veut pas dire droitisée, loin de là. La réaction des grands industriels des médias le prouve... Elle n’accepte ni les totems ni les tabous. Si la carte scolaire ne marche plus, qu’on le dise. Si les parents prennent des cours de soutien scolaiure, c’est qu’ils en ont besoin. Que le service public les aide ! S’il y a une délinquance croissante, c’est que des repères sont perdus et que la prison est une école du crime. Qu’on invente autre chose ! Elle a su prendre à la première gauche le sens des luttes sociales, l’économie au service de la personne humaine, l’esprit internationaliste. Elle a su prendre à la deuxième gauche le sens de la régulation, la décentralisation, l’intérêt pour l’économique. Elle a su prendre aux mouvement altermondialistes le respect absolu de l’environnement, le goût du travail en réseau, de la démocratie participative. Et de ceci, grâce à sa propre personnalité, elle a fait un alliage cohérent.Un projet de France moderne [color=#000000]De ce projet de gauche renouvelée, elle a fait un projet pour toute
la France. Recherchant , partout, des logiques "gagnant-gagnant", des cercles vertueux, elle parle à toute
la Nation. Quand elle parle d’Europe, c’est au sein d’une alliance avec nos partenaires qu’elle a préalablement consultés.Une France qui garde l’héritage de De Gaulle, qui renoue avec celui de Mitterrand, qui se souvient de son histoire avec l’Afrique, qui se rappelle qu’elle doit être à la pointe de la construction européenne, qui sait qu’elle a toujours été grande quand elle a été juste, qu’elle a toujours été elle-même quand elle a voulu parler au monde entier.[color:0b9a=#000000:0b9a]Une France dont la vie politique sera profondément renouvelée pour que les élus fassent droit à la demande des citoyens : plus de présence (lilmitation du cumul des mandats), plus de responsabilité, plus d’échanges avec les citoyens. Une sixième République que les miasmes des 15 dernières années rendent indispendable. Ségolène Royal est d’une gauche inoxydable. Mais elle a aussi grandi dans une famille de droite, de province, croyante et militaire et en a gardé des valeurs. C’est ce parcours qui a fait gloser qui la rend aujourd’hui capable d’être le chef de l’Etat, et de proposer aux familles politiques françaises des accords gagnats pour tout le pays. La capacité de gagner Et puis, surtout, malgré les forces liguées aujourd’hui contre elle, Ségolène Royal peut gagner cette léection présidentielle.
La France ne voudra pas de Nicolas Sarkozy. Il ne se contrôle pas et divise le pays.
La France le sait. Que Ségolène Royal l’affronte au deuxème tour, et elle gagnera. les instituts de sondage amis de l’UMP ont beau dire, ils nous refont le coup du référendum européen : ils confondent leurs désirs et leur travail. La présidende Royal est LA réponse à la crise du 21 avril ! François Bayrou ou le centrisme ni droite ni gauche [color=black]François Bayrou est né le 25/5/1951. S'il devient président de la république en 2007, il aura 55 ans au début de son mandat, et 60 ans à la fin, en 2012. [color:0b9a=black:0b9a] Agrégé de lettres classiques, François Bayrou est président de l'UDF depuis 1998, ancien ministre de l'Education nationale, ancien conseiller municipal de Pau et ancien président du conseil général des Pyrénées-Atlantiques.Candidat aux élections présidentielles de 2002, il obtient 6,84% des voix. François Bayrou s'est récemment fait remarquer en prenant ses distances avec la droite républicaine (UMP), en critiquant la privatisation des autoroutes, ou encore en votant contre la confiance au gouvernement, lors de l'houleuse crise du CPE. Pendant la pré-campagne présidentielle, en septembre 2006, François Bayrou a accusé les grands groupes médiatiques tels que Bouygues (propriétaire de TF1) de ne laisser aux français qu'un choix entre Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, et d'oublier les autres candidats. [size=12]Le projet de François Bayrou : pour 2007, il veut dépasser le conflit gauche-droite et amener les différentes forces politiques à travailler ensemble, dans un gouvernement d'union nationale, sous l'égide de l'UDF.Il Veut gouverner avec les socialistes et l’UMP. Il n’y aura donc aucun changement en France. C’est la garantie assurée d’un retour vers la 4 ème République et son instabilité permanente. Avec l’option Bayrou, c’est la cohabitation assurée avec toutes les lenteurs et les incapacités à gouverner que cela implique. Comment bâtir un programme cohérent quand on ne parvient déjà pas à rassembler les menbres de son propre parti UDF ? Le discours « anti-système » de Bayrou, alors qu’il est pacsé avec la droite depuis 1986, est fort préjudiciable à
la France. [/size] | |
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Dim 22 Avr - 6:05 par mihou