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 COURRIEL D'INFORMATION ATTAC (n°556)

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AuteurMessage
mihou
Rang: Administrateur
mihou


Nombre de messages : 8092
Localisation : Washington D.C.
Date d'inscription : 28/05/2005

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28062006
MessageCOURRIEL D'INFORMATION ATTAC (n°556)

COURRIEL D'INFORMATION ATTAC (n°556)

Mercredi 28/06/06
Merci de faire circuler et de diffuser largement.



Confort de lecture et impression papier:
Format RTF
http://www.france.attac.org/IMG/zip/attacinfo556.zip
Format
PDF
http://www.france.attac.org/IMG/pdf/attacinfo556.pdf
______________________________


1.- L’OPPOSITION PREPARE L’OFFENSIVE A MESURE QUE
LA CRISE DU FMI ET DE
LA BANQUE MONDIALE S’AGGRAVE
WASHINGTON, le 24 avril: Les réunions de
printemps de la Banque mondiale
et du Fonds Monétaire International se sont
déroulées ce week-end avec
des cordons de policiers entourant les deux
institutions au cœur de la
ville de Washington. Presqu’aucun manifestant
n’était en vue.
Par Walden Bello, Professeur de Sociologie à
l’Université des Philippines
et Directeur de l’organisme “Focus on the Global
South” basé à Bangkok.
Traduction : Alexandre Papadopoulos et Anne De
Moerlooze, Coorditrad

2.- LES CHEMINS DE DECOUVERTE
Attac prend la clé des champs et ouvre grandes
les portes des Chemins de
découverte pour accueillir tous ceux qui veulent
s'embarquer dans son
édition 2006. La seconde édition des Chemins de
découverte se tiendra du
1er au 3
juillet à Saverdun (Ariège).
Les inscriptions pour participer aux Chemins de
découverte 2006 sont
ouvertes. Vous pouvez dès à présent retirer un
bulletin d'inscription
depuis le site Internet d'Attac
(http://www.france.attac.org/r683) ou en
téléphonant au siège d'Attac (01 41 58 17 40).
Sont également à votre disposition les éléments
du programme et des
informations pratiques (hébergement, transport,
etc.).
http://www.france.attac.org/a6266

Les activités culturelles seront au cœur des
Chemins de découverte :
écriture, conteurs, danse, théâtre, art
plastique, musique et soirées
festives pour clore nos journées.

______________________________

1.- L’OPPOSITION PREPARE L’OFFENSIVE A MESURE QUE
LA CRISE DU FMI ET DE
LA BANQUE MONDIALE S’AGGRAVE
WASHINGTON, le 24 avril: Les réunions de
printemps de la Banque mondiale
et du Fonds Monétaire International se sont
déroulées ce week-end avec
des cordons de policiers entourant les deux
institutions au cœur de la
ville de Washington. Presqu’aucun manifestant
n’était en vue.

Les choses se sont passées à l’intérieur,
quelques pâtés de maisons plus
loin, à l’institut d’Etudes Politiques.
L’opposition a mis la touche
finale à une campagne pour “destituer” les deux
institutions. Pour les
70 militants venus de différentes parties du
monde, présents lors de
cette rencontre de deux jours de préparation
stratégique, l’absence
relative de manifestants dans la rue a été une
déception. En fait, ils
savaient que les deux institutions traversaient
la crise la plus
sérieuse depuis des années, une de celles qui
constituaient une occasion
pour affaiblir leur emprise sur la direction de
l’économie mondiale.

Une crise de légitimité au sein du FMI
La crise est encore plus aiguë au sein du Fonds
Monétaire International.
D’après l’ancien cadre du FMI et de la Banque
Mondiale, Dennis de Tray,
vice-président de l’Institut de Développement
Mondial, le FMI ne s’est
jamais remis de la crise financière asiatique de
1997. “Il a dès lors
perdu sa légitimité” a-t-il déclaré lors d’un
déjeuner-forum sponsorisé
par la Fondation Carnegie pour la Paix
Internationale. Depuis cette
crise, des pays phares de l’Asie comme la
Thaïlande, les Philippines, la
Chine et l’Inde ont restreint leurs nouveaux
emprunts au FMI, ayant à
l’esprit les conséquences désastreuses des
programmes de libéralisation
soutenus par le FMI que beaucoup de pays d’Asie
avait adoptés, sous
instruction du Fonds, au début des années 90.

A la réticence des pays d’Asie de s’endetter
davantage avec le Fonds
s’est ajouté un mouvement manifeste au sein des
pays d’Amérique latine,
menés par le Brésil et l’Argentine, pour
rembourser complètement le FMI
afin de prendre leur indépendance par rapport à
une institution très
détestée dans la région.

Ce qui de fait constitue un boycott par ses plus
grands emprunteurs
génère une crise budgétaire due au fait que les
opérations du FMI,
depuis deux décennies, reposaient de plus en plus
sur les intérêts
payés par ses clients les pays émergents plutôt
que sur les
contributions des gouvernements des pays riches
du Nord, qui se sont
déchargés du fardeau de contribuer au soutien de
l’institution sur les
emprunteurs. Mais où le FMI trouvera-t-il des
ressources, maintenant que
ses clients les pays-clés ont rompu leurs liens
financiers ?

Prenant la parole au cours du même événement que
de Tray, Ngaire Woods,
une experte de l’université d’Oxford sur le FMI
et la Banque Mondiale, a
révélé que d'après les projections de la Banque
Mondiale,
l’organisation verrait le paiement des charges et
des intérêts réduits
de plus de la moitié, passant de 3,19 milliards
de dollars en 2005 à
1,39 milliards en 2006, et encore de moitié en
2009, à 635 millions de
dollars, créant ce qu’elle décrit comme “une
énorme pression sur le
budget de l’organisation”.

Problèmes à la banque
Bien qu’il n’y règne pas la même atmosphère de
controverse et d’échec
qu’au FMI, des observateurs informés disent que
la Banque Mondiale se
trouve également en crise. La Banque est en proie
à une crise
budgétaire, d’après Woods : les recettes
provenant des taxes et des
charges dues par les emprunteurs ont chuté de 8,1
milliards de dollars
en 2001 à 4,4 milliards de dollars en 2004.La
Chine, l’Indonésie, le
Mexique, le Brésil et beaucoup de pays émergents
s’adressent ailleurs
pour obtenir des prêts.

Toutefois, la crise budgétaire n’est qu’un aspect
de la crise globale de
l’institution. De Tray, qui a été le cadre
permanent du FMI à Hanoï et
le Représentant de la Banque Mondiale à Jakarta,
affirme que les
politiques proposées comme remèdes par les
économistes de la Banque sont
de plus en plus perçues comme inadéquates face
aux difficultés
rencontrées par les pays en voie de
développement. Il affirme que le
problème réside dans l’accent que met le secteur
de recherche de la
Banque sur des techniques de fonctionnement
économiques “de pointe”
d’après les standards académiques du monde
occidental plutôt que sur des
connaissances qui seraient à la base de conseils
politiques pratiques.
Plus de 10.000 personnes forment le personnel
habituel de la Banque, la
majorité d’entre eux étant des économistes, et de
Tray affirme “qu’il
n’y a pas de problème dans la Banque qu’un
personnel réduit de 40% ne
pourrait résoudre”.

Woods appuie de Tray, écrivant dans un rapport
récent que “la plainte la
plus répandue dans ce domaine est que le
personnel du FMI et de la
Banque n’a aucune expérience sur les politiques à
mener. Ayant obtenu
des doctorats en économie et en finances, le
personnel est mal équipé
pour travailler dans les rouages complexes et
chaotiques des systèmes
politiques dans lesquels ils sont plongés.”

Le mépris de la politique qui inhibe une grande
partie du personnel dans
son rapport avec le monde des pays en voie de
développement va souvent
de pair avec un aveuglement total sur le fait que
des politiques plus
conséquentes que les politiques complexes des
pays en voie de
développement ont une influence sur les
politiques recommandées par la
Banque et le Fonds Monétaire.
Woods écrit que “Les politiques ont toujours eu
une influence sur les
avis donnés par le FMI et la Banque”. “ Le
premier accord formel entre
la Corée du Sud et le FMI, en 1997, était
clairement assorti de
conditions ajoutées sous la houlette des
Etats-Unis. Durant les années
90 en Russie, les pressions politiques du G7 ont
forcé la Banque
mondiale à accorder des prêts, qui n’ont jamais
été utilisés (mais pour
lesquels la Russie paie des intérêts), et poussé
le FMI à fermer les
yeux sur les échecs dans l’atteinte de ses
objectifs. Les projets de la
Banque Mondiale sont quelquefois guidés en
sous-main par des accords en
amont sur des contrats passés entre de grandes
firmes soutenues par des
gouvernements et des emprunteurs puissants”.

Comment cacher une crise
L’un des membres présents à la rencontre des
organisations
non-gouvernementales à l’Institut d’Etudes
Politiques était Robin Broad,
un professeur associé enseignant à l’Université
américaine. Observatrice
de longue date de la Banque Mondiale, dont le
livre “Une alliance
inégale : la Banque Mondiale et les Philippines”
est considéré comme un
classique dans l’étude des relations de
l’institution avec ses pays
clients, Broad affirme que la Banque Mondiale se
trouve être davantage
en crise que le FMI mais que cela est moins
perceptible par le public.

“Le FMI a réagi en se retranchant derrière ses
quatre murs, renforçant
ainsi l’impression générale d’être en état de
siège” a-t-elle déclaré.
“La Banque Mondiale a par contre impliqué le
monde pour masquer sa crise
grandissante”.

Elle identifie trois phases dans la stratégie
offensive de la Banque.
“D’abord, elle se met en avant en déclarant aux
donateurs qu’elle est
l’institution la mieux placée pour accorder des
prêts afin de mettre fin
à la pauvreté, en faveur de l’environnement, pour
la lutte contre le
sida, ainsi qu’on le dit, alors que les faits
prouvent que ce n’est pas
le cas. Deuxièmement, elle possède le département
de recherche sur le
“développement” le plus grand du monde --avec une
dotation d’environ 50
millions de dollars-- dont la principale raison
d’être est de faire des
recherches soutenant des conclusions tirées à
l’avance. Troisièmement,
elle abrite en son sein cet énorme département
des affaires extérieures
doté d’un budget de 30 millions de dollars –une
unité de relations
publiques qui alimente la presse avec des
résultats de recherche
soi-disant objective qui promeut l’image d’une
Banque omnisciente ».

“Mais cela ne peut pas durer”. conclut-elle. “A
l’intérieur de la Banque
elle-même, tout le monde sait qu’elle en crise et
qu’elle s’en sort
péniblement. Tôt ou tard la vérité finira par
émerger si nous faisons
notre travail”.
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COURRIEL D'INFORMATION ATTAC (n°556) :: Commentaires

mihou
Re: COURRIEL D'INFORMATION ATTAC (n°556)
Message Mer 28 Juin - 13:40 par mihou
La réaction à de nouvelles initiatives.
Au cours de la rencontre des ONG, la campagne
contre la corruption menée
par le Président de la Banque Mondiale, Paul
Wolfowitz, à grands
renforts de publicité a été rejetée car perçue
comme une opération de
relations publiques destinée à renforcer la
légitimité menacée de la
Banque. “Vous pouvez parler d’un hypocrite. Il
était l’Ambassadeur des
Etats-Unis en Indonésie au milieu des années 80,
alors que la corruption
impliquant des projets de la Banque Mondiale
battait son plein, et il
n’a jamais rien fait contre cela.”, a déclaré
Shalmali Guttal de
l’organisme Focus on the global South basé à
Bangkok. “A peu près le
tiers de l’argent donné par la Banque Mondiale au
gouvernement de
Suharto sur une période de trente ans, à partir
du milieu des années 60
jusqu’au milieu des années 90, a fini dans les
poches de l’entourage de
Suharto. Cela représentait 10 milliards des 30
milliards du programme de
prêt de la Banque Mondiale. En fait, Wolfowitz
avait la réputation
d’être un grand ami du régime de Suharto.”
Le projet d’accroître le poids du vote des grands
pays émergents comme la
Chine et le Brésil, de même que l’annonce qu’on
soumettrait au vote de
“l’Initiative pour les Pays Très Endettés” -
patronnée par la Banque -
le choix de nouveaux pays pauvres candidats à la
réduction de la dette
ont rencontré un scepticisme profond. Le dernier
était perçu comme une
opération de relations publiques destinée à
consolider un programme
bancal alors que le premier était considéré comme
une tentative
désespérée pour contrecarrer la tendance des pays
en voie de
développement de se libérer de la dépendance des
deux institutions.

La fin de toute réforme ?
Au cours de cette rencontre, on a peu parlé de
réformer les politiques de
prêts et les programmes de projets du FMI et de
la Banque Mondiale,
l’approche favorite de beaucoup des grandes ONG
dans les années 90. Le
coordinateur de la campagne “50 ans, ça suffit!”
Sameer Dossani a
exprimé les doutes des participants sur la
viabilité d’une approche
réformatrice: “Nous avons critiqué les programmes
d’ajustement
structurel, et ils sont venus avec des DSRP
[Documents pour une
Stratégie de Réduction de la Pauvreté ].Nous
avons demandé l’abolition
de la dette, et ils nous ont répondu avec
l’Initiative Pour les Pays
Très Endettés. Avec ces initiatives vouées à
l’échec, n’est-ce-pas le
moment de rechercher une approche différente” ?

La crise des deux institutions s’aggravant, les
opposants entrevoient la
possibilité d’élaborer une stratégie plus
radicale. “Nous nous étions
mis d’accord sur une stratégie pour enlever tout
pouvoir à la Banque et
au Fonds Monétaire,” a déclaré Lidy Nacpil de
Jubilee South, un
mouvement mondial exigeant l’annulation de la
dette, en conclusion des
deux journées de rencontre. Au lieu de lier des
conditions aux
opérations du FMI et de la Banque Mondiale pour
réduire leurs effets
négatifs, la nouvelle approche identifierait les
opérations les plus
vulnérables ou les divisions entre les deux
institutions et mènerait des
campagnes mondiales pour leur fermeture avec
comme objectif final de
réduire considérablement le pouvoir et
l’influence des deux
institutions. “C’est comme lorsqu’on coupe les
tentacules d’une
pieuvre,” a déclaré Dossani , “Vous commencez par
les endroits les plus
fragiles, et puis vous continuez.”

Parmi les initiatives retenues pour la nouvelle
campagne, des
mobilisations de masse et une Conférence
internationale sur “Des
alternatives à la Banque Mondiale et au FMI”
sont prévues pour
coïncider avec la Rencontre d’Automne entre la
Banque Mondiale et le FMI
à Singapour, durant la troisième semaine de
septembre.

Par Walden Bello, Professeur de Sociologie à
l’Université des Philippines
et Directeur de l’organisme “Focus on the Global
South” basé à Bangkok.
Traduction : Alexandre Papadopoulos et Anne De
Moerlooze, Coorditrad

2.- LES CHEMINS DE DECOUVERTE
Attac prend la clé des champs et ouvre grandes
les portes des Chemins de
découverte pour accueillir tous ceux qui veulent
s'embarquer dans son
édition 2006. La seconde édition des Chemins de
découverte se tiendra du
1er au 3
juillet à Saverdun (Ariège).
A quelques encâblures du canal du midi, le radeau
de la méduse «
éducation populaire tournée vers l'action »
tangue entre « deux-mers »,
la Culture et le Savoir.
Attac invite ses adhérents(es), ses sympathisants
(es), ses curieux(ses)…
seuls(es), entre amis(es) ou en famille, à entrer
dans les eaux du
courant alternatif de ces 3 jours. Des sentiers
culturels aux parcours
des débats sur les « Attac'thématiques »,
l'éducation populaire arme
nos 5 sens, non sans humour, pour être acteur,
ensemble, de nos propres
découvertes.
Les sentiers et les parcours se côtoient, se
rencontrent, se mélangent
pour produire des « petits riens qui font le
lendemain plus beau »,
c'est l'ambition des Chemins de découverte
d'Attac.
Autour de repas « équi'tables », d'un bar
convivial ou de soirées
festives, des prolongations s'entament, naissent,
se débattent; de
nouveaux parcours se dessinent… de Châtellerault
à Saverdun, ce sont les
Chemins de découverte.

Les sentiers

• De l’écriture avec : Ricardo pour le mouvement
populaire en 36 ;
Maxime pour l’édition et la difficulté de
populariser des idées ;
Michel pour la critique d’images ;
Marie-Aude pour décortiquer la BD.
• Du conte avec : Franck pour redécouvrir le
contenu des mots, ainsi que
leur sens
• De la danse :
Traditionnelle avec Trad et Scratch ;
Tango avec Alex ;
Hip-hop avec Renaud et Flora ;
Danse libre avec Isabelle ;
Salsa avec Carmen
• Du théâtre avec : Laurent pour le théâtre forum
Badassac pour le
théâtre de l’opprimé
• Des clowns avec : Rafaële
• Des arts plastiques avec : Jacques, Sabine,
Mélodie, Cyrille, Véronique
et Bertrand
• Du son avec : Olivier, Jean Paul et Dan…
et bien sûr … de l’imprévu … et vous !!

Les parcours

Le Parcours initiation et historique : comprendre
les mécanismes, les
points de clivage et ruptures avec :
• une initiation à l’économie (le néolibéralisme
– les indicateurs de
richesse – chômage)
• La fiscalité et le contrôle des flux financiers
(paradis fiscaux et
criminalité financière et taxations)
• AGCS et OMC
• La Directive Bolkestein
• La place des femmes dans l’économie
Le Parcours « penser global agir local » pour
poser les liens,
interactions, les leviers possibles et les
incohérences écologiques au
travers de :
• l’économie sociale et solidaire ; la démocratie
participative et
représentative ; écologie-développement et
cohérences ; la solidarité
internationale (dette) ; rat des villes, rat des
champs (banlieue,
ruralité, migration, logement-urbanisme) ;
consomm’action (AMAP,
commerce équitable, alterconsommation…)

Des Chemins de traverse : Droit et résistance à
la Mondialisation ;
brevetabilité - labelisation – certification ;
la diversité culturelle ; la boite à outils des
Chemins

Le parcours de société :
Des petites et grandes choses du quotidien qui
peuvent désaxer l’orbite
du néolibéralisme : Média, féminisme,
souffrance violence sociale et résistance,
logiciels libres, laïcité,
eau, OGM contre semences libres, santé et accès
aux soins

Le parcours du refus de la fatalité : l’éducation
populaire tournée vers
l’action : L’Education populaire et échanges des
savoirs ; à la
découverte d’Attac ; Attac un réseau du
local à l’international ; le Manifeste des
Alternatives d’Attac en débat.

Les soirées

Samedi soir
• 1ère partie : Frank Lepage vient nous donner en
spectacle... : «
l'éducation populaire, monsieur, ils n'en ont pas
voulu ». Une séance
décapante sur l'histoire de l'éduc pop qui va
nous fournir les bases
de la réflexion des deux jours à suivre...
• 2e partie : Café-culture : Marc Le Glatin
introduira le débat sur la
question de l'accessibilté à la culture
• 3e partie : Hip-hop /Graf – Danse (Isabelle) –
Bal folklorique (Trad et
Scratch)

Dimanche soir
• 1ère partie : soirée cabaret mise en oeuvre par
les participants et les
artistes : attention à vos yeux
• 2e partie : Café-culture : Jean-Marc Leterrier
abordera : de quelle
culture avons nous besoin ? Pourquoi avons nous
besoin de culture ? De
plus les intermittents du secteur feront l'étape.
•3e partie : Badassac (Théâtre) puis Jean-Paul
Raffit et Olivier Capelle
(musique de haut vol)

Lundi soir
• 1ère partie : soirée cabaret mise en oeuvre par
les participants et les
artistes : fermez les yeux
• 2e partie : dans le cadre de l'élaboration du
manifeste d'Attac,
l'ensemble des intervenants et participants se
donneront le mot pour
faire des propositions concrêtes en ce qui
concerne la culture + un
intervenant surprise ??
• 3e partie : Dan (musique internationale) et
Kazbarock (casse et baroque
ou case, basse et rock...à voir)

Mardi... on range
 

COURRIEL D'INFORMATION ATTAC (n°556)

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