Cinéma italien
« Quo Vadis »
La lumière naturelle
Les péplums (1882-1959)
"Cabiria", de G. Pastrone, en 1914.
Le cinéma italien puise ses idées dans le passé du pays. Ce sont essentiellement des péplums et des films historiques, tournés en extérieur. Cette lumière naturelle donne un aspect particulier. Beaucoup de plans d’ensembles avec beaucoup de figurants. La plupart sont longs, entre 3 et 4 heures, comme :
« Quo Vadis » (E. Guazzoni, 1912),
« Les derniers jours de Pompei » (E. Rodolfi, 1913),
« Cabilia » (G. Pastone, 1914).
Puis un nouveau cinéma apparaît dans les années 20, avec des histoires sur la bourgeoisie et des divas sortis des opéras.
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