STOPPEZ LE PIZZAIOLO HONGROIS!
à Lyon en soutien à Dominique Perben
Six mois avant l'élection présidentielle en France, le Rastignac Hongrois semble déjà avoir remporté le Graal que constituerait son accession à la magistrature suprême. Ce qui est choquant dans cette chronique d'une victoire annoncée, ce n'est pas tant l'ambition de l'homme issu de l'immigration Hongroise, mais plutôt les collusions d'intérêts entre les médias, les politiques, les associatifs et les financiers, tous travaillant d'arrache pied pour faire élire celui qui leur renverra l'ascenseur, si jamais, les choses se passaient selon le scénario prévu. Sarkozy au pouvoir, élu par les grands argentiers et la confrérie du Medef, ce serait un coup contre le peuple de France et la mise sous tutelle de la République. Sarkozy au pouvoir, c'en serait fini de l'idée du modèle Républicain Français. Dans ce cas, la France ressemblerait à l'actuelle Somalie, pays livré à l'affairisme des clans et des milices, à la loi du plus fort et à l'arbitraire des marchands de canon. Sarkozy au pouvoir, ce serait la confusion perpétuelle des genres et les conflits d'intérêts permanents entre les différents pouvoirs, comme nous le constatons depuis que ses commanditaires s'évertuent à lui tailler un costume d'homme d'Etat et de sauveur de la nation. Que l’on ne s’y trompe pas,le candidat du CAC 40 n'en a ni la carrure (1m62 sous la toise) ni les qualités mentales (migraineux, exalté et impulsif). Apparemment, c'est bien ces faiblesses là qui rassurent tant ceux qui pilotent de près ou de loin la candidature du ministre de l’intérieur à temps partiel, sachant qu'il ne s'opposera pas, le moment venu, à la vente à la découpe du patrimoine Français.
Si vous en doutiez encore, il suffit de se souvenir des gesticulations dégradantes du chouchou des médias aux ordres lors des dernières cérémonies du 11 septembre en hommage aux victimes des attentats aux Etats-unis. Ne s’est-il pas offert le luxe de critiquer la non participation de la France à l'invasion Américaine de l'Irak? N’a-t-il pas ironisé sur la "grandiloquence stérile" de la diplomatie Française? Ne s’est-il pas engagé auprès du président Bush "le petit", s’il était élu, à envoyer illici-presto les militaires français aux cotes des soldats américains embourbés dans le piège Irakien? Il ne fait pas de doute qu’une éventuelle victoire de l'arriviste Hongrois au pouvoir, ce serait l'adhésion de la France à la doctrine coloniale du choc des civilisations.
En retour, la France et son peuple devront en subir les dommages collatéraux : attentats, tensions communautaires, autarcie….L'exemple du président Bush "le petit", devenu une marionnette, aux mains de lobbies financiers, politiques et religieux,est bel et bien transposable en France, d'autant plus que le petit Nicolas est sous l'influence des mêmes mafias.
Sarközy, prix de la tolérance 2003 du centre Wiesenthal
Aussi, le triomphe programmé du ministre de l’intérieur est une menace majeure pour les institutions de la République. En effet, ses accointances avec des hommes politiques Israéliens de premier plan (voir son soutien à la guerre de l'Etat hébreu au Liban, le Monde du 20 juillet 2006) et sa proximité évidente avec les patrons et professionnels juifs de France (UPJF), une association communautaire plus connu pour ses positions pro israéliennes que pour son action en faveur de la libre entreprise, ne sont plus à démontrer, ce qui ne peut que soulever des questions sur les conflits d’intérêts à venir dans la gestion globale de la France. La France sous le règne de Sarkozy, c’est l’avènement d’une nouvelle République bananière. Un comble lorsque l’on pense aux idéaux révolutionnaires de 1789 ! Faut-il rappeler que Sarkozy a récemment eu l’honneur incommensurable de recevoir le prix de l'homme politique de l'année lors du dîner de gala annuel de l'UPJF ?(30 mars 2006, voir discours apocalyptique du président de l'UPJF, Claude Barouch, qui évoque pour les Français de confession juive la nécessité d'"un combat vital pour empêcher, une fois de plus d'être relégué au rang de dhimmi" ). Le ministre de l’intérieur a-t-il compris que la France n’est pas le Liban, c'est-à-dire un pays communautarisé en fonction des appartenances ethniques et confessionnelles ? Il s’en fout royalement puisque la balkanisation de la République est partie intégrante de son projet politique d’inspiration Américaine.
Comme le dénoncent si justement Jacques Chirac et Dominique De Villepin, sans toutefois prendre toute la mesure du danger communautarisation de la société française, le candidat de l’UMP prétend s’attaquer au communautarisme mais détruit jour après jour le pacte républicain et la notion du vivre ensemble en France.Sarkozy incarne une rupture complète avec les pratiques politiques traditionnelles qui entretiennent l’idée de la nation Française. Par méconnaissance de la culture Française, car étant issu de l’immigration Hongroise, Sarkozy ignore que les racines paysannes et provinciales continuent de structurer le personnel politique de la France. Est-il besoin de rappeler le profond enracinement provincial ou le bon sens paysan des hommes politiques contemporains comme Charles De Gaulle, Georges Pompidou, Valery Giscard d’Estaing, François Mitterrand ou Jacques Chirac ? Peut-on aspirer à la magistrature suprême avec un tel déficit ? Manifestement, non. Pour preuve, il apparaît évident que pour surmonter cette carence là, le ministre de l’intérieur entend faire basculer la France dans l’ère caricaturale de l’américanisation des mœurs politiques. Ainsi, il pourrait croire que son expérience de maire de Neuilly puisse s’appliquer à l’échelle nationale, que les sondages bienveillants des filiales du MEDEF, les effets de manche et les manipulations des chiffres puissent masquer un bilan catastrophique comme chef de la police,que les critères confessionnelles et ethniques des ciyoyens importent le pacte républicain et la confrontation des idées . C’est bien ce projet du copier/coller du modèle américain que prépare Sarkozy pour la France, rêvant d’arriver au pouvoir après avoir divise le corps électoral en plusieurs communautés qu’il séduirait par un clientélisme exacerbé et destructeur pour la République. Inquiétant !
Au nom de sa soif du pouvoir et de grandeur, il semble que le Rastignac Hongrois soit prêt à tout, y compris à transformer la France en Maxi Pizza dont il entend, si jamais par malheur, il était élu, partager les parts aux principaux acteurs de son élection, aux patrons de la confrérie du MEDEF, aux présidents des associations communautaires et allies étrangers et à tous ceux qui chanteraient désormais des louanges à sa gloire, lui, le petit immigre Hongrois (1,62m sous la toise) devenu président des Français. Angoissant ! Faut-il se résigner à cette victoire qui plongerait la France dans un chaos général, alors qu’il n’en faut pas beaucoup pour rallumer le feu dans les banlieues populaires ? Non, non, non !
Il faut donc empêcher à Sarkozy et à ses petits copains de faire main basse sur la France. Vite aux barricades citoyens et citoyennes, mettez un cordon sanitaire pour protéger l’Elysée contre le coup de force du pizzaïolo Hongrois !
Extraits du Discours du Président de l’UPJF Claude Barouch lors du Gala du 30 mars 2006 :
(...)Et comme l’Histoire du monde nous l’enseigne, lorsqu’une catastrophe approche, les premiers touchés, les fusibles multiséculaires, ce sont les Juifs.
Car, qui peut affirmer aujourd’hui que nous n’avons pas déjà franchi l’irréversible, ce moment où plus rien n’est sous contrôle, tout peut s’emballer. Emeutes dans les banlieues, assassinat d’Ilan, scènes de guérilla urbaine contre le CPE… Les manifestations de violence extrême se succèdent à rythme effréné sans qu’une ébauche de solution ne nous fasse entrevoir un espoir, aussi minime soit-il.
Comme je vous l’ai dit, aujourd’hui, tout peut s’emballer…
Car ne nous y trompons pas : Nous, les Juifs, ne sommes que la partie émergée de cet iceberg de haine et de rejet de l’autre. Nous savons malheureusement, qu’aujourd’hui, il est tout aussi difficile d’être Chrétien que Juif dans les écoles et les cités de certains quartiers. Ces informations ne sont pas le fruit de notre imagination, mais ressortent de nos échanges avec nos amis chrétiens ainsi que les autorités dirigeantes de notre pays.
Mais si nous, Juifs français avons fait le choix de rester en France et d’essayer encore d’y croire, alors le moins que nous puissions faire c’est de ne pas rester inactifs. A nous seuls, nous ne modifierons pas le cours de l’histoire.
Mais en unissant nos forces, nous pourrons sans doute en modifier certains aspects.
(...)
Ce combat est si fondamental qu’il est aujourd’hui une des conditions de notre survie, un combat vital pour empêcher, une fois de plus d’être relégué au rang de dhimmi. Ce combat doit être mené sur tous les fronts à la fois, celui de la politique, de la communication et de la pédagogie.
(...)
L’UPJF a entamé un véritable travail de fond. Ainsi, nous dialoguons aujourd’hui avec les responsables des principaux partis politiques démocratiques de notre pays. Nous sommes à mêmes de leur passer des messages mais également de leur faire part des craintes et des angoisses dans lesquelles se trouvent notre communauté aujourd’hui. Il est plus que jamais indispensable de continuer ce travail, de rester en contact permanent de nos dirigeants afin de défendre au mieux les intérêts de notre communauté.
Et cela est d’autant plus important et fondamental que les intérêts de notre communauté sont les intérêts de notre pays : la France !
Cet engagement de l’UPJF dans la vie politique implique que nous ne nous priverons pas de faire des choix, le moment venu, entre nos véritables amis, soucieux de notre bien être et de nos préoccupations, ceux qui comprennent notre attachement et notre soutien irréductible à l’Etat d’Israël, et les autres.
(...)
Toujours dans la même perspective, en démontrant que la lutte contre le terrorisme international et les dictatures islamistes est le combat de tous les défenseurs des droits de l’homme et que chacun de nos concitoyens, quelque soit son appartenance religieuse ethnique ou philosophique est en danger.
Ces gigantesques missions que nous nous impartissons se traduiront aussi bien par l’achat, si besoin est, de placards dans les medias nationaux, de campagnes d’affichage dans les rues de Paris et dans le métro, que par l’organisation de meetings et de conférences et toutes initiatives visant à propager une véritable information.
Sur le terrain du pragmatisme aussi parce qu’il n’est pas concevable de laisser nos frères à l’abandon, subir aujourd’hui agressions verbales et physiques, demain on n’ose imaginer quoi d’autre.
Alors, nous allons organiser la caravane de la fraternité et aller à la rencontre de nos frères et de leurs voisins à Sarcelles, à Créteil, à Bondy, à Epinay sur Seine, à la Courneuve, à Mantes la Jolie, à Sartrouville…
Il s’agira ici d’organiser des soirées de la fraternité pour transmettre plusieurs messages :
- à nos frères tout d’abord, leur affirmer qu’ils ne sont pas seuls, que tous leurs coreligionnaires sont conscients des dangers auxquels ils sont confrontés et que si nécessaire, on les aidera à quitter l’enfer dans lequel ils tentent de survivre. En les aidant à déménager si nécessaire ailleurs en France ou en Israël, avec l’aide des pouvoirs publics mais aussi avec la solidarité de la communauté.
- à leurs agresseurs d’autre part, en leur rappelant qu’ils ne se trompent pas de cible, que les juifs ne sont pas leurs ennemis et en tentant de construire des passerelles. Il conviendra aussi, et sans risque d’interprétation d’une quelconque provocation de notre part, de leur faire comprendre que nous ne tolérerons pas de nouvelles agressions et que nous n’aurons de cesse, le cas échéant, de leur faire payer dans le strict cadre, bien sûr, de la loi républicaine.
Tout cela demande des moyens.
Parce que nous sommes responsables de nos enfants et de nos frères, les membres de l’UPJF et tous ceux qui viendront nous rejoindre dans ce combat, doivent doter l’organisation des moyens de sa politique et consacrer du temps pour l’accompagner.
Ce soir, le véritable lobby que nous voulons affirmer doit relever un premier défi. Celui qui consiste à assurer l’organisation de la faisabilité des chantiers sur lesquels elle travaille et qui sera la véritable et première démonstration à l’égard de tous, dans la communauté et dans la nation, que notre détermination est sans faille.
(...)
Chers amis, nous commençons peut être à vivre un cauchemar mais nous devons ensemble, avec nos compatriotes non juifs, nous dresser pour rappeler notre refus de l’indifférence et de la passivité devant le racisme et l’antisémitisme.
Nous devons tout faire pour que l’action de l’Etat soit menée sur deux fronts :
Combattre la drogue intégriste qui se sert de l’antisémitisme pour mieux enrôler ses soldats de l’islam.
Lutter contre la criminalisation de certaines zones françaises où la fureur anti-juive est aussi le paravent de la délinquance la plus sauvage.
On dit que dans le passé les antisémites les plus dangereux étaient ceux qui voulaient faire un monde sans juifs.
Aujourd’hui, les antisémites les plus virulents ne sont plus seulement ceux qui veulent un monde de Juifs dhimmi et sans Etat Juif, mais ce sont ceux qui veulent islamiser le monde et rendre dhimmi l’ensemble du monde judéo-chrétien.
Je vous remercie
http://alert2neg.over-blog.com/article-4653161.html
Lun 27 Nov - 21:25 par mihou