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 La vitamine D

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Tite Prout
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Tite Prout


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Localisation : Montréal
Date d'inscription : 01/06/2005

La vitamine D Empty
23102006
MessageLa vitamine D

Vitamine D



* Indications
* Posologie
* Description
* Sources alimentaires
* Carence
* Historique
* Recherches
* Précautions
* Interactions
* Références

Autres noms : Calciférol, calcifédiol, cholécalciférol, ergocalciférol, dihydroxycholécalciférol, vitamine soleil, vitamine antirachitique.
Indications

Efficace


Prévenir l'ostéoporose et en ralentir la progression (en combinaison avec du calcium), améliorer l'absorption et la rétention du calcium.

Efficacité incertaine


Prévenir divers types de cancer.

Voir la signification des symboles et les critères de classification utilisés.

Note. Le traitement de divers troubles pour lesquels la vitamine D est indiquée exige une surveillance médicale : rachitisme, ostéomalacie, hypocalcémie (carence en calcium sanguin), tétanie, hyperparathyroïdie, maintien de la masse osseuse chez les patients atteints d'un cancer de la prostate ainsi que certains traitements oraux et topiques du psoriasis à l'aide d'une forme modifiée de vitamine D (calcipotriol).
Posologie

La posologie de la vitamine D est parfois donnée en unités internationales (UI) plutôt qu'en microgrammes (µg). Pour s'y retrouver, il suffit de savoir que 1 µg (1 millionième de gramme) équivaut à 40 UI.

* Prévention et traitement de l'ostéoporose. Les recommandations vont de 10 µg (400 UI) de vitamine D jumelée à 700 mg de calcium par jour jusqu'à 20 µg (800 UI) de vitamine D jumelée à 1 200 mg de calcium chez les personnes à risque ou souffrant d'ostéoporose. La prise doit être continue.

Apport suffisant* en vitamine D

Âge


µg**


UI***

de 0 à 50 ans


5 µg


200 UI

de 51 à 70 ans


10 µg


400 UI

plus de 70 ans


15 µg


600 UI

Source : Institute of Medicine, Food and Nutrition Board. Dietary Reference Intakes for Calcium, Phosphorus, Magnesium, Vitamin D, and Fluoride, 1997. Ces données sont le résultat d'un consensus entre les autorités canadiennes et américaines qui ont entrepris une démarche d'uniformisation des apports suffisants et des apports nutritionnels recommandés (ANR).
*En l'absence de données scientifiques suffisantes, les autorités ont fixé, non pas un apport nutritionnel recommandé (ANR), mais un apport suffisant (AS). L'apport suffisant est un apport quotidien moyen recommandé qui repose sur les apports moyens chez les Nord-américains en bonne santé.
**1 microgramme = 1 millionième de gramme
***unité internationale

Controverse

Les apports suffisants mentionnés ci-dessus reflètent, bien que beaucoup trop timidement selon certains chercheurs1,2, une tendance en faveur de l'augmentation des apports nutritionnels recommandés.

Des études publiées depuis 1999 tendent en effet à confirmer l'utilité d'apports quotidiens accrus pour les personnes à risque de carence (voir Symptômes de carences ou risques de carence et Recherches). Plusieurs experts considèrent qu'un apport quotidien de 800 UI ou même 1 000 UI serait plus adéquat, notamment pour les personnes âgées ou à risque de déficience1,3-5.

Les apports maximaux tolérables sous forme de suppléments sont de 25 µg (1 000 UI) pour les nourrissons jusqu'à six mois et de 50 µg (2 000 UI) pour le reste de la population. Pourtant, des chercheurs affirment qu'une dose quotidienne de 4 000 UI est tout à fait sécuritaire2.

Description

À la fois vitamine et pro-hormone, la vitamine D (ou calciférol) est vitale pour la santé des os et des dents, car elle joue un rôle essentiel dans le métabolisme du calcium dans l'organisme. Elle régularise le taux de calcium sanguin en améliorant l'absorption intestinale de ce minéral tout en minimisant son élimination par l'urine. Elle participe aussi à la déposition et au retrait de calcium des os selon les besoins de l'organisme. « Calciférol », un des autres noms de la vitamine D vient du latin et signifie d'ailleurs « qui porte le calcium ».

Le terme recouvre en fait un ensemble de substances liposolubles (solubles dans un corps gras) qu'on nomme parfois provitamines D : ergocalciférol (D2), cholécalciférol (D3), etc. L'organisme transforme ces substances en une forme hormonale, le calcitriol (ou 1,25 dihydroxycholécalciférol), qui est celle que le corps peut utiliser.

L'organisme peut en outre synthétiser directement la vitamine D par la peau, ce qui explique pourquoi on ne peut la considérer strictement ou purement comme une vitamine. Sous l'effet des rayons ultraviolets du soleil, il produit le cholécalciférol qui sera transporté et métabolisé au foie en 25-hydroxycholécalciférol, puis au rein où il prendra sa forme active de 1,25 dihydroxycholecalciférol. Pour cette raison, on l'a souvent nommée la « vitamine soleil ».

On l'a aussi appelée « vitamine antirachitique » parce que ce trouble de la croissance est causé par une carence en calciférol.

En Amérique du Nord, ainsi que dans plusieurs pays industrialisés, on ajoute systématiquement de la vitamine D au lait et à la margarine afin d'assurer à chacun un apport suffisant.
Sources alimentaires

Teneur de quelques aliments en vitamine D

Aliments


Portions


Vitamine D

Saumon, grillé ou poché


100 g (3 ½ oz)


15-26 µg

Thon, rouge, grillé


100 g (3 ½ oz)


23 µg

Huître, crue ou cuite à la vapeur


100 g (3 ½ oz) (2 à 4 moyennes)


8 µg à 20 µg

Hareng de l'Atlantique, mariné


100 g (3 ½ oz)


17 µg

Champignons shiitakes, séchés


10 champignons (36 g)


15 µg

Saumon, fumé


100 g (3 ½ oz)


10 µg

Truite, grillé


100 g (3 ½ oz)


5 µg à 7 µg

Anguille, grillé


100 g (3 ½ oz)


6 µg

Doré, grillé


100 g (3 ½ oz)


5 µg

Flétan, atlantique ou pacifique, grillé


100 g (3 ½ oz)


5 µg

Hareng de l'Atlantique, légèrement fumé et salé


100 g (3 ½ oz)


5 µg

Oeuf, jaune seulement, cru


2-4 gros jaunes (80 g)


3 µg

Brochet, grillé


100 g (3 ½ oz)


3 µg

Lait de vache, 0 % à 3 25 % MG


250 ml (1 tasse)


1 µg à 3 µg

Boisson de soya, enrichie


250 ml (1 tasse)


2 µg

Boisson de riz, enrichie


250 ml (1 tasse)


2 µg

Plie ou sole, grillée


100 g (3 ½ oz)


2 µg

Sardine de l'Atlantique, en conserve


100 g (3 ½ oz)


2 µg

Foie de boeuf, braisé ou sauté


100 g (3 ½ oz)


1 µg

Fromage suisse (emmental)


50 g (1 ½ oz)


1 µg

Source : Santé Canada, Fichier canadien sur les éléments nutritifs, versions 2001b et 2005 et ministère de l'Agriculture des États-Unis(USDA), National Nutrient Database for Standard Reference.



Soleil et vitamine D

On estime généralement que l'exposition au soleil peut procurer de 80 % à 90 % de la vitamine D requise et qu'un bain de soleil intégral (le corps à nu) peut procurer jusqu'à 10 000 UI. Une simple exposition (sans écran solaire) des mains, des avant-bras et du visage pendant 10 à 20 minutes (à la latitude de Toronto) entre 11 h et 14 h, à raison de deux ou trois fois par semaine, suffirait à assurer un apport adéquat à un adulte en bonne santé6. De cette façon, d'avril à octobre environ, l'organisme peut synthétiser et stocker assez de vitamine D pour ses besoins hivernaux, à condition qu'on lui fournisse en tout temps suffisamment d'aliments riches en vitamine D7. À noter que les personnes à la peau foncée, celles qui s'exposent avant 11 h ou après 14 h et celles qui habitent sous des latitudes plus nordiques doivent s'exposer plus longtemps pour obtenir un apport adéquat en vitamine D.

Cependant, cet objectif semble difficile à atteindre, car une étude publiée en 2002 indique plutôt que la déficience en vitamine D est assez répandue au Canada et qu'une supplémentation en vitamine D serait nécessaire en automne et en hiver, principalement pour les personnes âgées7.

Note. Bien que les lotions solaires offrant un facteur de protection de 8 ou plus bloquent suffisamment les rayons ultraviolets pour empêcher la synthèse de la vitamine D, il est préférable d'utiliser une lotion solaire pour une exposition prolongée8.
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La vitamine D :: Commentaires

Tite Prout
Re: La vitamine D
Message Lun 23 Oct - 20:07 par Tite Prout
Carence

Sauf, à l'occasion, chez les végétaliens (qui ne consomment ni viande, ni poisson, ni oeufs, ni produits laitiers), il est rare qu'une carence en vitamine D s'installe à la suite d'un apport alimentaire insuffisant. Cependant, certains troubles d'absorption intestinale, de même qu'une maladie comme la mucoviscidose (fibrose kystique) ou la maladie coeliaque peuvent entraîner un déficit en calciférol.

Une trop faible exposition au soleil peut également être en cause. C'est souvent le cas l'hiver, sous certaines latitudes, ou pour les personnes qui ne s'exposent pas régulièrement au soleil pour une raison ou une autre (grands malades, invalides, personnes âgées, etc.). Une étude canadienne publiée en juin 2002 a d'ailleurs constaté que la déficience en vitamine D serait très fréquente au Canada. Les chercheurs ont conclu que les apports recommandés devraient être revus à la hausse, notamment en hiver et en automne pour les personnes âgées7. Sur la base de cette recherche, un scientifique très actif dans ce domaine suggère même que tous les adultes vivant sous des latitudes nordiques prennent chaque jour 25 µg de vitamine D (1 000 UI) sous forme de supplément5.

Les personnes à la peau foncée doivent s'exposer au soleil plus longtemps que les autres pour obtenir un apport adéquat9. Après avoir constaté une déficience en vitamine D parmi des femmes de race noire consommant chaque jour un supplément de 5 µg (200 UI, soit l'apport recommandé), des chercheurs américains ont récemment conclu que les apports recommandés devaient être revus à la hausse pour ces femmes10.

Il semble que la capacité de l'organisme à absorber ou à synthétiser la vitamine D diminue avec l'âge. De ce fait, on estime qu'un adulte sur sept pourrait souffrir de carence11. Chez les personnes âgées vivant en institution, la proportion peut grimper jusqu'à 87 %8. Ceci a un effet marqué sur l'incidence de l'ostéoporose chez les aînés.

Les pédiatres recommandent souvent la supplémentation pour les nourrissons alimentés exclusivement au sein puisque le lait maternel renferme très peu de vitamine D. Cependant, selon les autorités médicales américaines, une courte exposition du bébé au soleil quelques fois par semaine est suffisante pour qu'il synthétise une quantité adéquate de vitamine D8. En 2001, les auteurs d'une synthèse des données scientifiques a conclu que seuls les enfants à la peau foncée ou ceux dont l'exposition au soleil est insuffisante devraient recevoir un supplément de vitamine D14.

Chez les enfants, la carence entraîne le rachitisme qui est caractérisé par des retards du développement moteur et de la croissance, le défaut des fontanelles à se fermer et à se souder, une mauvaise constitution osseuse et des troubles du sommeil. Cette maladie correspond à l'ostéomalacie chez l'adulte et elle se manifeste alors par une déminéralisation osseuse, de la diarrhée, de la nervosité et des sensations de brûlure dans la bouche et la gorge.

Pr Holick, un spécialiste de la vitamine D, recommande que les personnes à risque de carence fassent vérifier leur taux sanguin de vitamine D avant l'hiver, soit en novembre. Il insiste sur le fait que c'est le taux de 25 hydroxycholecalciférol qui doit être mesuré et non pas le taux de 1,25 dihydroxycholecalciférol, car ce dernier peut être carrément trompeur. Le taux minimal de 25 hydroxycholecalciférol doit être de 20 ng/L (nanogramme* par litre), mais selon le Pr Holick, le taux idéal doit se situer de 30 à 50 ng/L15.

*nanogramme = milliardième de gramme
Historique

Durant la révolution industrielle (XIXe siècle) une épidémie de rachitisme a frappé la ville de Londres. En 1918, sir Edward Mellanby démontrait que la maladie était attribuable à une carence nutritionnelle. Au cours des années 1920, on découvrait que l'huile de foie de morue pouvait contrer le rachitisme. En 1922, le docteur McCollum isolait le calciférol qu'on nomma plus tard vitamine D. Mais ce ne fut qu'en 1924 que des chercheurs de deux universités américaines découvraient simultanément que la lumière du soleil était une source de vitamine D. Aujourd'hui, on attribue cette épidémie de rachitisme au smog dense qui recouvrait Londres à cette époque, privant ses habitants des rayons ultraviolets du soleil.

La première synthèse de cette vitamine fut réalisée à Harvard, en 1952, par R.B. Woodward, un scientifique qui reçu un prix Nobel en 1965.
Recherches

Efficace Prévention de l'ostéoporose. Plusieurs synthèses des recherches attestent de l'efficacité de la combinaison vitamine D/calcium pour prévenir et ralentir l'ostéoporose chez les personnes de plus de 50 ans, notamment les femmes postménopausées1,4,16,17. Cela se manifeste par une augmentation de la densité minérale de l'os, souvent accompagnée d'une diminution du risque de fracture18,19. Des études ont clairement montré que, pour être efficace, la supplémentation en calcium devait être accompagnée de vitamine D1,4,20,21. Les recommandations vont de 400 UI de vitamine D jumelée à 700 mg de calcium jusqu'à 800 UI de vitamine D jumelée à 1 200 mg de calcium chez les personnes à risque ou souffrant d'ostéoporose.

Une étude publiée en 2002 indique que la perte de densité osseuse observée chez les enfants ayant subi des brûlures sur une grande surface de la peau (40 % et plus), était liée à une carence en vitamine D. Cette carence peut être notamment attribuable au fait que ces jeunes ne doivent pas s'exposer au soleil en raison des séquelles de leurs brûlures22.

Efficacité incertaine Prévention du cancer. Plusieurs études in vitro et in vivo montrent que le calciférol peut inhiber la croissance des cellules malignes dans le cancer du côlon23. En plus de contribuer à la formation et au renouvellement permanent de la structure osseuse, il semble que la forme active de la vitamine D incite directement les cellules cancéreuses à se spécialiser dans une fonction spécifique au service de l'organisme (la « différenciation cellulaire »), plutôt que de se multiplier de manière chaotique. Le calciférol jouerait ainsi un rôle de « rééducation » auprès des cellules cancéreuses.

Cette propriété de la vitamine a été observée sur divers types de cellules cancéreuses. Des études épidémiologiques suggèrent également que la vitamine D aurait un effet protecteur contre certains cancers : prostate, colon et sein16,24-27, mais les effets secondaires de la supplémentation en vitamine D (notamment l'hypercalcémie, soit un taux trop élevé de calcium dans le sang) rendent les études cliniques difficiles. Cependant, les recherches sont prometteuses et se poursuivent afin d'isoler certains analogues de la vitamine D ayant un meilleur rapport efficacité/innocuité28-30.

Divers. La forme active de la vitamine D possède une action immunomodulatrice significative et peut donc jouer un rôle important dans les cas de maladies auto-immunes, comme la sclérose en plaques, l'arthrite rhumatoïde, les maladies inflammatoires de l'intestin et le diabète de type 128. D'ailleurs, les résultats d'une vaste étude de cohorte, menée durant 30 ans auprès de 12 000 femmes et de leurs enfants, indiquent que la supplémentation en vitamine D durant la croissance (2 000 UI par jour) est associée à une baisse de l'incidence du diabète de type 1 chez les enfants31. Un essai mené auprès de 120 patients atteints de colite granulomateuse (maladie de Crohn) ou de colite ulcéreuse confirme que ces troubles du système digestif peuvent entraîner une carence en vitamine D et conclut que, dans de tels cas, la supplémentation pourrait être utile32.
Précautions
Attention

* En cas de calcifications rénales, de sarcoïdose et d'hyperparathyroïdie, consulter un médecin avant de prendre de la vitamine D.

Contre-indications

* Hypercalcémie (taux trop élevé de calcium dans le sang).

Effets indésirables

* La vitamine D étant liposoluble, elle peut s'accumuler dans l'organisme et causer divers troubles en cas de supplémentation excessive : maux de tête, nausées, vomissements, perte de poids, fatigue intense. Ces symptômes se résorbent lorsqu'on cesse la supplémentation. En cas de supplémentation vraiment excessive et prolongée, la vitamine D peut provoquer la diarrhée, une augmentation de l'élimination d'urine (polyurie), une sensation de soif, de l'irritabilité, un défaut de croissance chez l'enfant, la surdité, la cécité, voire la mort.

Interactions
Avec des médicaments

* Les anti-épileptiques et les anticonvulsivants, de même que les corticostéroïdes, peuvent entraîner une carence en vitamine D. Comme ce type de médicament est souvent prescrit à long terme à des épileptiques et des arthritiques, une supplémentation pourrait être indiquée.
Tite Prout
Re: La vitamine D
Message Lun 23 Oct - 20:08 par Tite Prout
Réviseur :
Pierre Haddad, chercheur national du Fonds de la recherche en santé du Québec et professeur titulaire, Département de pharmacologie, Université de Montréal.

Recherche et rédaction : Pierre Lefrançois et Françoise Ruby, avec la collaboration de Jean-Yves Dionne, pharmacien.

Mise à jour : 30 janvier 2006


Références

Note : les liens hypertextes menant vers d'autres sites ne sont pas mis à jour de façon continue. Il est possible qu'un lien devienne introuvable. Veuillez alors utiliser les outils de recherche pour retrouver l'information désirée.

Bibliographie

Darguère JM. Lexique des compléments alimentaires. Dangles. France. 2000.
Holick MF. Vitamin D deficiency: what a pain it is. Mayo Clin Proc. 2003;78(12):1457-1459. [Consulté le 9 janvier 2006] www.mayoclinicproceedings.com
National Library of Medicine (Ed). PubMed, NCBI. [Consulté le 9 janvier 2006]. www.ncbi.nlm.nih.gov
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Liebman B. Soaking up the D's, Nutrition Action Healthletter, décembre 2003
NIH Clinical Center. Office of Dietary Supplements. Dietary Supplement Fact Sheet: Vitamin D. [Consulté le 9 janvier 2006] http://ods.od.nih.gov
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The Natural Pharmacist (Ed). Natural Products Encyclopedia, Herbs & Supplements - Vitamin D, ConsumerLab.com. [Consulté le 9 janvier 2006]. www.consumerlab.com
Therapeutic Research Faculty (Ed). Vitamine D, Natural Medicines Comprehensive Database. [Consulté le 9 janvier 2006]. www.naturaldatabase.com
The Vitamin D Council www.cholecalciferol-council.com [Consulté le 9 janvier 2006].
Wellness Guide to Dietary supplements. Vitamin D. UC Berkeley Wellness Letter, December 1998. www.berkeleywellness.com

Notes

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2. Vieth R, Chan PC, MacFarlane GD. Efficacy and safety of vitamin D3 intake exceeding the lowest observed adverse effect level. Am J Clin Nutr. 2001 Feb;73(2):288-94.
3. Robert D. Utiger, M.D. The Need for More Vitamin D. New England Journal of Medicine. Volume 338:828-829 March 19, 1998 Number 12. Editorial. http://content.nejm.org
4. Gennari C. Calcium and vitamin D nutrition and bone disease of the elderly. Public Health Nutr 2001 Apr;4(2B):547-59.
5. Vieth R, Fraser D. Vitamin D insufficiency: no recommended dietary allowance exists for this nutrient. Commentary. CMAJ. 2002 Jun 11;166(12):1541-2. Texte intégral : www.cmaj.ca
6. Liebman B. Soaking up the D's, Nutrition Action Healthletter, décembre 2003
7. Wellness Guide to Dietary supplements. Vitamin D. UC Berkeley Wellness Letter, December 1998. www.berkeleywellness.com
7. Rucker D, Allan JA, et al. Vitamin D insufficiency in a population of healthy western Canadians. CMAJ. 2002 Jun 11;166(12):1517-24. Texte intégral : www.cmaj.ca
8. NIH Clinical Center. Office of Dietary Supplements. Dietary Supplement Fact Sheet: Vitamin D. [Consulté le 9 janvier 2006] http://ods.od.nih.gov
9. Malvy DJ, Guinot C, et al. Relationship between vitamin D status and skin phototype in general adult population. Photochem Photobiol 2000 Apr;71(4):466-9.
10. Nesby-O'Dell S, Scanlon KS, et al. Hypovitaminosis D prevalence and determinants among African American and white women of reproductive age: third National Health and Nutrition Examination Survey, 1988-1994. Am J Clin Nutr. 2002 Jul;76(1):187-92.
11. Chapuy MC, Preziosi P, et al. Prevalence of vitamin D insufficiency in an adult normal population. Osteoporos Int 1997;7(5):439-43.
12. Larrosa M, Gratacos J, et al. [Prevalence of hypovitaminosis D in elderly institutionalized residents: influence of a substitutive treatment] [Article en espagnol, résumé en anglais] Med Clin (Barc) 2001 Nov 17;117(16):611-4.
14. Greer FR. Do breastfed infants need supplemental vitamins?Pediatr Clin North Am 2001 Apr;48(2):415-23.
15. Holick MF. Vitamin D deficiency: what a pain it is. Mayo Clin Proc. 2003;78(12):1457-1459. [Consulté le 9 janvier 2006] www.mayoclinicproceedings.com
16. Malabanan AO, Holick MF. Vitamin D and bone health in postmenopausal women. J Womens Health (Larchmt). 2003 Mar;12(2):151-6. Review.
17. Dawson-Hughes B, Harris SS, et al. Rates of bone loss in postmenopausal women randomly assigned to one of two dosages of vitamin D. Am J Clin Nutr 1995 May;61(5):1140-5.
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19. Bischoff-Ferrari HA, Willett WC, et al. Fracture prevention with vitamin D supplementation: a meta-analysis of randomized controlled trials. JAMA. 2005 May 11;293(18):2257-64. Review.
20. Scotti A, Bianchini C, et al. Absorption of calcium administered alone or in fixed combination with vitamin D to healthy volunteers. Arzneimittelforschung 2001;51(6):493-500.
21. Abrams SA. Calcium turnover and nutrition through the life cycle. Proc Nutr Soc 2001 May;60(2):283-9.
22. Klein GL, Langman CB, Herndon DN. Vitamin D depletion following burn injury in children: a possible factor in post-burn osteopenia. J Trauma 2002 Feb;52(2):346-50.
23. Lamprecht SA, Lipkin M. Cellular mechanisms of calcium and vitamin D in the inhibition of rectal carcinogenesis. Ann N Y Acad Sci 2001 Dec;952:73-87.
24. Giovannucci E. The epidemiology of vitamin D and cancer incidence and mortality: a review (United States). Cancer Causes Control. 2005 Mar;16(2):83-95. Review.
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26. Grant WB, Garland CF. A critical review of studies on vitamin D in relation to colorectal cancer. Nutr Cancer. 2004;48(2):115-23.: 15231446
27. Gorham ED, Garland CF, et al. Vitamin D and prevention of colorectal cancer. J Steroid Biochem Mol Biol. 2005 Oct;97(1-2):179-94.
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30. Zhao XY, Feldman D. The role of vitamin D in prostate cancer. Steroids 2001 Mar-May;66(3-5):293-300.
31. Hypponen E, Laara E, et al. Intake of vitamin D and risk of type 1 diabetes: a birth-cohort study. Lancet 2001 Nov 3;358(9292):1500-3.
32. Jahnsen J, Falch JA, et al. Vitamin D status, parathyroid hormone and bone mineral density in patients with inflammatory bowel disease.Scand J Gastroenterol 2002 Feb;37(2):192-9.

http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=vitamine_D_ps&xtor=EPR-2
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