QUELQUES ELEMENTS DE NOTRE RELIGION
Nous savons que des éléments fondamentaux de la religion monothéiste du pharaon Akhenaton notre véritable Moïse se retrouvent dans le judaïsme, qui est une religion syncrétique instituée en 398 av. J.C, par le scribe et sacrificateur Esdras.
En effet, pour des raisons chronologiques nous savons que c’est le judaïsme qui a emprunté à la religion monothéiste égyptienne remontant au 14e siècle av. J.C.
D’autre part, au 5e siècle av. J.C, le grec Hérodote considéré comme le père de l’histoire (Histoire II : 91) écrivait ceci : « Les égyptiens s’opposent à l’introduction chez eux de coutumes grecques, et d’ailleurs des coutumes de tous les autres peuples en général. Ils ont tous sur ce point la même attitude ». Donc, cette déposition d’un témoin oculaire exclut quasiment tout emprunt de la part des égyptiens.
Hormis les concepts relatifs au monothéisme et à l’idolâtrie, Akhenaton notre véritable Moïse garda les principes fondamentaux de la religion traditionnelle égyptienne, lesquels ont été empruntés par le judaïsme.
Afin de restituer aux kamites qui souhaitent pratiquer leur religion ancestrale dans toute sa pureté, nous utiliserons les écrits d’Hérodote remontant au 5e siècle av. J.C, que nous mettrons en parallèle avec les écrits juifs remontant au 4e siècle av. J.C.
Puis, nous revisiterons les représentations égyptiennes et plus spécialement celles de l’époque d’Akhenaton notre véritable Moïse, afin d’avoir une preuve archéologique solide de nos pratiques religieuses éparpillées sur le continent mère.
Les égyptiens laissaient croître leurs cheveux en signe de deuil
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 36) écrivait ceci : «Les prêtres des dieux portent ailleurs les cheveux longs : en Egypte ils ont la tête rasée. Partout ailleurs, la coutume veut que, dans un deuil, les plus proches parents du mort coupent leurs cheveux : les égyptiens, après le décès d’un parent, laissent croître leurs cheveux et leur barbe, alors qu’ils étaient rasés auparavant ».
Dans le judaïsme nous retrouvons également cette coutume (Dictionnaire encyclopédique du judaïsme, éditions Cerf/Robert Laffont, page 274) parlant des 30 jours de deuil (chelochim) chez les juifs on nous dit ceci : « Pendant les chelochim, il est interdit de se couper les cheveux, de se raser, de porter des vêtements neufs ou d’aller à des réceptions ».
Au 14e siècle av. J.C, lors de la mort de sa fille Maketaton, nous trouvons une représentation d’Akhenaton portant une barbe de plusieurs jours.
De même, au 13e siècle av. J.C, lors de la mort de Séthi nous avons une représentation de Ramsès II se laissant pousser la barbe en signe de son deuil paternel.
Signalons aussi que certains kamites se rasent les cheveux en signe de deuil, une coutume empruntée par les juifs (Ezéchiel 27 : 31) à un certain moment : « Ils se raseront la tête à cause de toi, ils se revêtiront de sacs, et ils pleureront sur toi dans l’amertume de leur âme ».
Les égyptiens couvraient de boue leur visage en signe de deuil
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 85) écrivait ceci : « Voici leurs deuils et leurs cérémonies funèbres : dans la famille qui perd un homme de quelque considération, toutes les femmes de la maison se couvrent de boue la tête ou même le visage ; puis elles laissent le cadavre dans la maison et courent par la ville en se frappant la poitrine, le sein nu, la robe retroussée, retenue par une ceinture ; toutes leurs parentes se joignent à elles. Les hommes se frappent et se lamentent de leur côté, dans une tenue semblable. Cela fait, on emporte le corps pour le faire embaumer ».
Au 4e siècle av. J.C, dans le judaïsme nous avons le même signe de deuil (Josué 7 : 6, Ezéchiel 27 : 30 et Luc 23 : 27) comme le confirment ces écrits : « Josué déchira ses vêtements, et se prosterna jusqu’au soir le visage contre terre devant l’arche de l’Eternel, lui et les anciens d’Israël, et ils se couvrirent la tête de poussière… Ils feront entendre leurs voix sur toi, et pousseront des cris amers ; ils jetteront de la poussière sur leurs têtes et se rouleront dans le cendre… Il était suivi d’une grande multitude de gens du peuple, et de femmes qui se frappaient la poitrine et se lamentaient sur lui ».
En Egypte, nous avons une représentation connue sous le nom de « Pleureuses aux seins nus» se lamentant sur un mort. Lors de la mort de leur fille Maketaton, Akhenaton et Néfertiti manifestent leur deuil de cette façon également.
Les égyptiens pratiquaient la circoncision
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 36, 37 et 104) écrivait ceci : « Ailleurs on laisse les parties naturelles telles qu’elles sont, sauf chez les peuples qui ont adopté la coutume égyptienne : les égyptiens pratiquent la circoncision…Ils pratiquent la circoncision par souci de la propreté, qu’ils préfèrent à une meilleure apparence… Les colchidiens, les égyptiens et les éthiopiens sont les seuls peuples qui aient de tout temps pratiqué la circoncision. Les phéniciens et les syriens de Palestine reconnaissent qu’ils tiennent cet usage des égyptiens ; les syriens établis dans les vallées du Thermodon et du Parthénios, ainsi que les macrons leurs voisins, déclarent l’avoir depuis peu emprunté aux colchidiens. Voilà les seuls peuples qui aient cet usage, et l’on constate qu’ils observent sur ce point les mêmes règles que les égyptiens. Des égyptiens et des éthiopiens, je ne saurais dire quel est le peuple qui a pris cette coutume à l’autre, car elle est, de toute évidence, des plus anciennes. Mais que les autres peuples la doivent à leurs relations avec l’Egypte, en voici encore une preuve très nette à mes yeux : ceux des phéniciens qui sont en relation avec la Grèce n’imitent plus les égyptiens sur ce point et ne font plus circoncire leurs enfants ».
Au 4e siècle av. J.C, dans la Torah la circoncision apparaît avec l’ancêtre éponyme Abraham (Genèse 17 : 10 à 14 et 24 à 27) comme par hasard après un séjour en Egypte, on nous dit ceci : « C’est ici mon alliance, que vous garderez entre moi et vous, et ta postérité après toi : tout mâle parmi vous sera circoncis. Vous vous circoncirez ; et ce sera un signe d’alliance entre moi et vous. A l’âge de huit jours, tout mâle parmi vous sera circoncis, selon vos générations, qu’ils soit né dans la maison, ou qu’il soit acquis à prix d’argent de tout fils d’étranger, sans appartenir à ta race. On devra circoncire celui qui est né dans la maison et celui qui est acquis à prix d’argent ; et mon alliance sera dans votre chair une alliance perpétuelle. Un mâle incirconcis, qui n’aura pas été circoncis dans sa chair, sera exterminé du milieu de son peuple : il aura violé mon alliance… Abraham était âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, lorsqu’il fut circoncis. Ismaël, son fils, était âgé de treize ans lorsqu’il fut circoncis. Ce même jour, Abraham fut circoncis, ainsi qu’Ismaël son fils. Et tous les gens de sa maison, nés dans sa maison, ou acquis à prix d’argent des étrangers, furent circoncis avec lui ».
Non seulement nous n’avons aucune trace de l’existence d’Abraham, mais quand bien même qu’il aurait existé, son existence est à placer entre 2000 et 1800 av. J.C.
Or, bien avant cette date nous avons des traces de la circoncision en Egypte, notamment dans la tombe d’Ankhmahor vers 2330 av. J.C. Assurément, en bon égyptien qu’il était, Akhenaton notre véritable Moïse était circoncis dès l’âge de treize ans.
Donc, il est évident que les sémites ont emprunté cette coutume à l’Egypte, où les jeunes hommes étaient circoncis vers l’âge de treize ans tout comme l’ancêtre éponyme Ismaël, la circoncision à l’âge de huit jours remonte à l’époque d’Esdras vers 398 av. J.C.
Les prêtres égyptiens portaient des vêtements de lin
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 37) écrivait ceci : « Les prêtres ne portent que des vêtements de lin et des sandales de papyrus ; les autres vêtements et chaussures leur sont interdits ».
Au 4e siècle av. J.C, dans le judaïsme (Exode 28 : 39 à 43) nous retrouvons cet emprunt concernant les vêtements des prêtres : « Tu feras la tunique de fin lin ; tu feras une tiare de fin lin, et tu feras une ceinture brodée. Pour les fils d’Aaron, tu feras des tuniques, tu leur feras des ceintures, et tu leur feras des bonnets, pour marquer leur dignité et pour leur servir de parure. Tu en revêtiras Aaron, ton frère, et ses fils avec lui. Tu les oindras, tu les consacreras, tu les sanctifieras, et ils seront à mon service dans le sacerdoce. Fais-leur des caleçons de lin, pour couvrir leur nudité ; ils iront depuis les reins jusqu’aux cuisses. Aaron et ses fils les porteront, quand ils entreront dans la tente d’assignation, ou quand ils s’approcheront de l’autel, pour faire le service dans le sanctuaire ; ainsi ils ne se rendront point coupables, et ne mourront point. C’est une loi perpétuelle pour Aaron et pour ses descendants après lui ».
Nous avons une représentation du grand-prêtre Akhenaton notre véritable Moïse, habillé de fin lin et faisant le service sacerdotal dans la temple d’ATONA.
Les prêtres égyptiens faisaient des ablutions quotidiennes
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 37) parlant des prêtres égyptiens écrivait ceci : «Ils se lavent à l’eau froide deux fois par jour et deux fois par nuit, et doivent encore observer bien d’autres prescriptions impossibles à énumérer ».
Au 4e siècle av. J.C, dans le judaïsme (Exode 30 : 17 à 21 et Exode 40 : 30 à 32) nous retrouvons également ces ablutions avant le service quotidien dans le tabernacle : « L’Eternel parla à Moïse, et dit : Tu feras une cuve d’airain, avec sa base d’airain, pour les ablutions ; tu la placeras entre la tente d’assignation et l’autel, et tu y mettras de l’eau, avec laquelle Aaron et ses fils se laveront les mains et les pieds. Lorsqu’ils entreront dans la tente d’assignation, ils se laveront avec cette eau, afin qu’ils ne meurent point ; et aussi lorsqu’ils s’approcheront de l’autel, pour faire le service et pour offrir des sacrifices à l’Eternel. Ils se laveront les mains et les pieds, afin qu’ils ne meurent point. Ce sera une loi perpétuelle pour Aaron, pour ses fils et pour leurs descendants…Il plaça la cuve entre la tente d’assignation et l’autel, et il y mit de l’eau pour les ablutions ; Moïse, Aaron et ses fils, s’y lavèrent les mains e les pieds ; lorsqu’ils entrèrent dans la tente d’assignation et qu’ils s’approchèrent de l’autel, ils se lavèrent, comme l’Eternel l’avais ordonné à Moïse ».
Nous avons non seulement une représentation de cette cuve d’airain, mais aussi une représentation du grand-prêtre Akhenaton notre véritable Moïse faisant ses ablutions.
Le peuple égyptien pourvoyait à l’entretien de ses prêtres
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 37) écrivait ceci sur la rémunération des prêtres : « En récompense ils ont bon nombre d’avantages : ils n’usent ni ne dépensent rien de leurs biens personnels, on leur prépare des aliments sacrés, et chacun reçoit chaque jour de la viande de bœuf et d’oie en abondance ; on leur donne aussi du vin de raisin ; toutefois, le poissons leur est interdit ».
Au 4e siècle av. J.C, dans le judaïsme (Nombres 18 : 21, 26, 31, Exode 35 : 29) nous retrouvons également ce principe : « Je donne comme possession aux fils de Lévi toute dîme en Israël, pour le service qu’ils font, le service de la tente d’assignation… Tu parleras aux Lévites, et tu leur diras : Lorsque vous recevrez des enfants d’Israël la dîme que je vous donne de leur part comme votre possession, vous en prélèverez une offrande pour l’Eternel, une dîme de la dîme… Vous la mangerez en un lieu quelconque, vous et votre maison ; car c’est votre salaire pour le service que vous faites dans la tente d’assignation… Tous les enfants d’Israël, hommes et femmes, dont le cœur était disposé à contribuer à l’œuvre que l’Eternel avait ordonnée par Moïse, apportèrent des offrandes volontaires à l’Eternel ».
Les archives d’Akhenaton notre véritable Moïse indiquent ce qu’il recevait quotidiennement pour le bon fonctionnement du Temple d’ATONA.
D’autre part, nous avons également une représentation d’Akhenaton redistribuant aux indigents la dîme de la dîme qu’il recevait, c’est la fameuse scène dite de la « Fenêtre de l’Apparition ».
La prêtrise égyptienne était exclusivement masculine
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 35) écrivait ceci : « Une femme ne peut être prêtresse d’aucune divinité, ni masculine ni féminine ; les prêtres sont des hommes, pour les déesses comme pour les dieux ».
Au 4e siècle av. J.C, dans le judaïsme (Dictionnaire encyclopédique du judaïsme, p.808, éditions Cerf/Robert Laffont) on nous confirme cette exclusivité en disant : « Si on peut retrouver des fonctions similaires de prêtrise chez les cananéens, accordées aux femmes comme aux hommes, seul le judaïsme en fit une fonction exclusivement masculine ».
Notons que certains pensent que des égyptiennes exerçaient la fonction de prêtresse, mais nous pensons que cette erreur est due à une mauvaise traduction de l’égyptien et à une méconnaissance des réalités égyptiennes.
La prêtrise égyptienne était héréditaire
Au 5e siècle av. J.C, Hérodote (Histoire II : 37) poursuit en écrivant : « Chaque dieu a, non pas un seul, mais plusieurs prêtres, dont l’un est le grand-prêtre ; quand meurt un prêtre, son fils lui succède ».
Au 4e siècle av. J.C, dans le judaïsme (Exode 28 : 1 et 2, 1Chroniques 6 : 49) nous retrouvons la même chose avec le grand-prêtre Aaron et ses fils lui succédant en tant que prêtres : « Fais approcher de toi Aaron, ton frère, et ses fils, et prends-les parmi les enfants d’Israël pour les consacrer à mon service dans le sacerdoce : Aaron et les fils d’Aaron, Nadab, Abihu, Eléazar et Ithamar. Tu feras à Aaron, ton frère, des vêtements sacrés, pour marquer sa dignité et pour lui servir de parure… Aaron et ses fils offraient les sacrifices sur l’autel des holocaustes et l’encens sur l’autel des parfums, ils remplissaient toutes les fonctions dans le lieu très saint, et faisaient l’expiation pour Israël, selon tout ce qu’avait ordonné Moïse, serviteur de Dieu ».
Nous savons qu’Akhenaton était le grand-prêtre d’ATONA, et que logiquement son fils Toutankhaton était destiné à lui succéder dans cette fonction, mais ce dernier renia ATONA et pris le nom de Toutankhamon en restaurant en l’an 2 de son règne le polythéisme ancestral.
Jeu 1 Juin - 11:31 par mihou