Les principales organisations du pouvoir planétaire -
L'OCDE, l'organisation initiatrice de l'AMI
Le Fond Monétaire International (FMI) (voir le texte "Le Fond Monétaire International") et la Banque Mondiale dessinent l'économie et l'environnement de la planète par le biais des prêts accordés aux états du Tiers-Monde à condition qu'ils appliquent une politique économique d'inspiration ultra-libérale, souvent au mépris des réalités humaines et écologiques.
L'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) fixe les règles du commerce mondial, en réduisant considérablement la marge de décision des états dans le domaine de l'économie ou de l'environnement.
Le Word Economic Forum est une organisation qui rassemble les hommes les plus puissants et les plus riches de la planète. Le critère d'admission au sein de ce réseau est le niveau de pouvoir, de richesse, et d'influence du prétendant, dans le domaine de l'économie, de la politique internationale, de la technologie ou des médias. La principale réunion du World Economic Forum a lieu chaque année à Davos, en Suisse, à la fin du mois de Janvier. Tout au long de l'année, les membres les plus importants de cette organisation sont reliés par un super-réseau de vidéo-conférence, « Wellcom », qui leur permet de se concerter à tout moment sur les décisions mondiales importantes. Exactement comme dans le film « Roller Ball », qui décrit un monde futur où les cartels économiques ont pris le pouvoir et où une élite planétaire prend ses décisions lors de vidéo-conférences similaires.
La Trilateral Commission (voir le texte "La Commission Trilatéral") est un organisme de réflexion international co-fondé en 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinski (ancien conseiller du président Jimmy Carter). Il réunit des dirigeants des 3 zones économiques principales: Amérique du Nord, Europe de l'Ouest, Japon.
Le CFR (voir le texte "Council on Foreign Relations") est une organisation américaine qui rassemble des leaders politiques ou économiques de haut niveau (comme Georges Bush, Henry Kissinger, ou David Rockefeller).
Le Club de Rome est un « Club de réflexion » de leaders politiques et économiques, principalement européens
LES PROTOCOLES DES DIRIGEANTS
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- Le monopole des affaires -
"Le capital, pour avoir le champ libre, doit obtenir le monopole de l'industrie et du commerce. Ceci est en voie d’être réalisé, dans toutes les parties du monde, par une main invisible. Un tel privilège donnera un pouvoir politique aux industriels qui, s'enrichissant de profits excessifs, se fusionneront et opprimeront le peuple. De nos jours, il est plus important de désarmer le peuple que de le mener à la guerre. Il est plus important d'utiliser pour notre cause les passions brûlantes que de les éteindre, d'encourager les idées des nôtres et de s'en servir pour nos desseins que de les écarter."
- Fausses doctrines économiques -
"Pour que les Gentils ne se rendent pas prématurément compte de la véritable situation des affaires, nous la dissimulerons sous un désir apparent d'aider les classes ouvrières dans la solution des grands problèmes économiques, dont nos théories économiques facilitent la propagande de toutes les manières possibles."
- La presse -
"La presse est, entre les mains des Gouvernements existants, une grande puissance par laquelle ils dominent l'esprit public. La presse révèle les réclamations vitales de la populace, informe de ses sujets de plainte, et, parfois, crée le mécontentement. La libre parole est née de la presse. Mais les Gouvernements n'ont pas su tirer parti de cette force et elle tomba entre nos mains. Par la presse, nous acquîmes l'influence, tout en restant dans les coulisses."
- Opposer les partis -
"Afin d'inciter les amateurs de pouvoir à faire mauvais usage de leurs droits, nous avons dressé tous les pouvoirs les uns contre les autres en encourageant leurs tendances libérales vers l'indépendance. Nous avons favorisé toute entreprise dans ce sens ; nous avons mis des armes formidables aux mains de tous les partis et nous avons fait du pouvoir le but de toute notre ambition. Nous avons transformé les Gouvernements en arènes pour les guerres de partis."
- Des droits fictifs pour les masses -
"Les gens sont asservis, à la sueur de leur front, dans la pauvreté, d'une manière plus formidable qu'au temps des lois du servage. De celui-ci, ils pouvaient se libérer d'une manière ou de l'autre, tandis que rien ne les affranchira de la tyrannie du besoin absolu. Nous avons eu soin d'insérer, dans les Constitutions, des droits qui sont pour la masse purement fictifs. Tous les soi-disant « droits du peuple » ne peuvent exister que sous forme d'idées inapplicables en pratique."
- Brimer le travailleur -
"Notre intérêt veut, au contraire, la dégénérescence des Gentils. Notre force consiste à maintenir le travailleur dans un état constant de besoin et d'impuissance, parce qu'ainsi nous l'assujetissons à notre volonté ; et dans son entourage, il ne trouvera jamais ni pouvoir ni énergie pour se dresser contre nous."
- La “ liberté” -
"Le mot « liberté» met la société en conflit avec toutes les puissances, même avec celle de la Nature et avec celle de Dieu. C'est pourquoi, lorsque nous arriverons au pouvoir, ils nous faudra effacer le mot « liberté» du dictionnaire humain, comme étant le symbole du pouvoir bestial qui transforme les hommes en animaux sanguinaires. Mais rappelons-nous que ces animaux s'endorment dès qu'ils sont rassasiés de sang et qu'il est facile alors de les charmer et de les asservir. Si on ne leur donne pas de sang, ils ne dormiront pas et se battront entre eux."
- Gouvernement despotique -
"Quelle sorte de gouvernement peut-on donner à des sociétés où la concussion et la corruption ont pénétré partout, où les richesses ne peuvent s'acquérir que par d'astucieuses surprises ou par des moyens frauduleux, où les querelles dominent continuellement, où la morale doit être soutenue par le châtiment et par de sévères lois et non par des principes volontairement acceptés ; où les sentiments patriotiques et religieux se noient dans des convictions cosmopolites ? Quelle autre forme de gouvernement peut-on donner à ces sociétés, si ce n'est la forme despotique que je vais vous décrire ? Nous voulons organiser un gouvernement central et fort, de façon à obtenir pour nous-mêmes les pouvoirs sociaux. Par de nouvelles lois, nous règlerons la vie politique de nos sujets, comme s'ils étaient autant de rouages d'une machine. De telles lois restreindront graduellement la liberté et tous les privilèges accordés par les Gentils. Notre règne se développera ainsi en un despotisme si puissant qu'il pourra à tout moment et en tout lieu écraser les Gentils mécontents ou récalcitrants. On nous dira que la sorte de despotisme que je suggère ne s'accordera pas avec le progrès actuel de la civilisation, mais je vais vous prouver le contraire."
- Nos serviteurs -
"Nous avons à notre service des gens de toute opinion et de tous les partis : des hommes désireux de rétablir les monarchies, des socialistes, des communistes et des partisans de toutes sortes d'utopies. Nous les avons tous mis sous le harnais ; chacun, à sa manière, mine le reste du pouvoir et essaye de détruire les lois existantes. Par ce procédé, tous les gouvernements sont torturés ; ils hurlent pour réclamer le repos ; et, pour l'amour de la paix, ils sont prêts à tous les sacrifices. Mais nous ne leur laisserons aucune paix jusqu'à ce qu'ils aient reconnu notre Super gouvernement international. Le peuple réclamant, en gémissant, la solution indispensable des problèmes sociaux par des moyens internationaux. Les dissensions de partis mirent ceux-ci entre nos mains, parce que, pour conduire l'opposition, il faut de l'argent, et l'argent est sous notre contrôle.