Et puis dans Le PARIS MATCH de cette semaine, les propos du numéro Un brésilien Lula, interrogé en coopération avec RFI. Le journal relève que le président brésilien s'est déjà rendu dans 14 pays africains et 5 pays arabes. Il assure que chacun doit défendre ses intérêts pour être respecté, et se respecter soi-même: ça a marché pour le sucre face aux Européens. Pour le coton face aux américains. «Je mise sur l'Afrique affirme-t-il: le Brésil, deuxième nation noire de la planète, a tout comme les Etats-Unis, l'Europe ou Cuba, une dette historique envers l'Afrique: 300 ans d'esclavage pendant lesquels un continent a été vidé de ses hommes jeunes et forts, qui ont été envoyés chez nous, en perdant au passage leur dignité humaine. Nous devons, conclut-il essayer de commencer à payer cette dette en créant un monde plus solidaire».