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Comité de Soutien à Joss Rovélas Contre la Négrophobie
"Bonnet blanc et blanc bonnet : le point noir !"
20e communiqué du CSJRCN du 2 novembre 2006

Le devoir des élites est de servir le pays. Le nôtre est défini en ces termes par la Constitution de 1958 : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens, sans distinction d’origine, de race ou de religion » Notre devoir est de faire appliquer la Constitution.

Un président de la République doit non seulement respecter la constitution, mais aussi construire la concorde pour l’action et le rayonnement du pays.

Parmi les candidats déclarés et leurs supporteurs officiels, certains ont exprimé sans équivoque leur soumission à des puissances étrangères :

Jacques Chirac a désavoué l’esprit du gaullisme en considérant que le gouvernement de Vichy avait véritablement représenté la France (discours du Vel d’Hiv, 1995). Ce faisant, il a donné des gages d’allégeance à l’Etat d’Israël, fondé sur la croyance à l’antisémitisme, qui serait un instinct criminel caractéristique de tous les Français, sauf des juifs.

Nicolas Sarkosy trahit la France en allant personnellement déclarer son allégeance à Georges Bush et au lobby juif américain AIPAC.

Ségolène Royal est la marionnette d’une boîte de communication américaine, et recommande que la France s’aligne sur la politique de Bill Clinton.

Lionel Jospin a trahi l’article 1er de la constitution en faisant voter une loi qui indemnise davantage les fils de déportés juifs que les autres fils de déportés. Cela s'appelle une politique communautariste...

Laurent Fabius a fait voter une loi basée sur le déni du droit par un tribunal militaire, entérinant simplement la loi du plus fort, à l’issue de la Deuxième guerre mondiale (Loi Gayssot).

Dominique Strauss Kahn se demande tous les matins au réveil ce qu’il pourra faire pour servir l’Etat d’Israël, la ville de Sarcelles lui servant déjà de modèle de la préference communautariste qu'il mettra en oeuvre à l'échelle de la France entière...

Douste Blazy est convaincu que le mur enfermant les Palestiniens dans des bantoustans privés de toute ressource est une bonne solution aux problèmes de l’Etat d’Israël.

Droite et gauche jouent Ensemble la comédie de la rivalité, espérant que les électeurs n’y verront que du feu. Or les électeurs ont voté Non au projet de Constitution européenne, considérant que c’est la souveraineté de leur patrie et la maîtrise sur leurs droits qui étaient mises en danger...

Parmi les partis proposant des mesures d’application du refus de la dénationalisation de la France, Marine Le Pen propose le ralliement des patriotes sur la base de l’abolition de la loi Taubira, déclarant la déportation transatlantique et la mise en esclavage industriel des Africains crime contre l’humanité et cela à l'aide de quelques clowns dangereux prétendant représenter le monde noir qu'elle laissera tomber bientôt...

Pour ce qui est des partis nettement minoritaires, de De Villiers aux communistes, ils ont tenu à être présents à la manifestation de négrophobie officielle organisée autour d’un fait divers censé représenter « la menace de la férocité noire » contre « l’éternelle innocence juive » dans l'affaire Halimi/Fofana...

Les incendies visant des Noirs se multiplient, tandis que les intellectuels jouissant des faveurs médiatiques, à l’unisson avec le ministre de l’intérieur, multiplient les déclarations visant à créer des barrières ethniques entre Français.

Nous appelons les Français à voter massivement NON à TOUS les candidats incapables de représenter un élan de dignité collective contre l’imitation du modèle USraélien basé sur l’ethnicité et les privilèges d’une ethnie par rapport aux autres.

La solution aux problèmes sociaux passe par la reconnaissance de la dignité de l’histoire et de la spiritualité de chaque composante de la société. Le rééquilibrage implique la réparation des torts de l’Etat envers ses orphelins, ceux qu’il abandonne ou jette en pâture aux nouveaux esclavagistes.

En 1914, tous les partis politiques désignaient un ennemi : le Boche, et appelaient à une guerre fratricide dont seuls se tireraient indemnes les marchands de canons et de propagande mensongère. Jaurès le martyr a sauvé l’esprit de la France en refusant cette guerre.

En 2007, tous les partis politiques de notre temps désignent ou laissent désigner un ennemi : l’immigrant sub-saharien. Notre devoir est de sauver l’esprit de la France : nous disons que le véritable ennemi est le modèle USraélien qu’on veut nous imposer, en matière de politique étrangère comme sur les problèmes sociaux !

Un intellectuel, bénéficiant plus que tout autre d'espaces d'_expression, du nom de Finkielkraut, a été pris sur le fait d'un racisme anti-noir inadmissible à plusieurs reprises, sur divers médias du service public et/ou privé, en France et à l'étranger. Il passe pour cela en correctionnelle le mardi 7 novembre 2006. Nous allons avoir là une occasion de vérifier la sincérité de tout le personnel politique, des médias et du mouvement social français, c'est à dire de ceux qui se disent antiracistes mais laissent la négrophobie se répandre.


Rendez-vous le 7 novembre à 13heures
devant la 17e chambre du TGI de Paris,
4 bd du Palais Paris 1er, métro : Cité.

La négrophobie ne passera pas !

Dénonçons toutes les pseudo-élites
qui prétendent légitimer l’édification
de murs de la haine entre les Français !

Nous attendons que chaque candidat non-sioniste et chaque organisation de défense des droits humains nous fasse connaître ses propositions concrètes pour combattre la négrophobie.

Interpellez vos élus locaux, interpellez les médias, interpellez les responsables religieux et associatifs : ont-ils des propositions concrètes pour combattre la négrophobie ?

Nous, nous en avons !

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