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 La Grande Désillusion de Joseph Eugene Stiglitz

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Tite Prout
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Tite Prout


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La Grande Désillusion de Joseph Eugene Stiglitz Empty
22052006
MessageLa Grande Désillusion de Joseph Eugene Stiglitz

La Grande Désillusion
de Joseph Eugene Stiglitz, Paul Chemla (Traduction)

La Grande Désillusion Notre prix : EUR 4,28
Neuf et d'occasion à partir de EUR 4,28


Poche - 407 pages (24 septembre 2003)
Chroniques et points de vue

Amazon.fr
Vice-président de la Banque mondiale, Joseph Stiglitz démissionna avec fracas de son poste en 2000. Auréolé d'un Prix Nobel d'économie reçu en 2001, il fait ici le procès des politiques prônées par le Fonds monétaire international. Pour faire face à la crise financière en Asie, pour faciliter la transition en Russie ou pour sauver des pays lourdement endettés, c'est toujours la même thérapeutique libérale qui est appliquée : privatisations, rigueur budgétaire et ouverture des marchés. Ces "solutions archaïques et inadaptées, sans tenir compte des effets qu'elles auraient sur les habitants des pays", sont imposées sans débat préalable, à partir d'une conception dogmatique de l'économie : la supériorité du marché et de la concurrence.
Avec pédagogie et sur un ton incisif, Stiglitz décrit avec moult anecdotes comment les grands argentiers ont contribué à façonner l'économie mondiale, et dénonce leurs décisions davantage fondées sur les intérêts des pays riches que sur ceux des pays "aidés". S'il ne remet pas en cause pour autant la mondialisation, "potentiellement capable d'enrichir chaque habitant de la planète en particulier les plus pauvres", il réclame une réforme en profondeur du fonctionnement des institutions internationales, pour mettre fin à ce "consensus de Washington" dont l'échec est patent. --Gery Dumoulin

Présentation de l'éditeur
Joseph Stiglitz s'en prend dans ce livre au libéralisme et aux grandes institutions financières (FMI, Banque mondiale) qui prétendent agir au service de la communauté internationale. « La libéralisation a été programmée par les pays occidentaux pour les pays occidentaux », écrit-il.
Il dénonce également l'institution même du FMI et son mode de fonctionnement, observé de l'intérieur. L'auteur ne manque pas non plus d'insister sur le rôle prépondérant joué par les États-Unis dans ce processus d'appauvrissement.
Une dénonciation d'un retentissement considérable compte tenu des fonctions occupées par l'auteur pendant plusieurs années.

Quatrième de couverture
« Aujourd'hui, la mondialisation, ça ne marche pas. Ça ne marche pas pour les pauvres du monde. Ça ne marche pas pour l'environnement. Ça ne marche pas pour la stabilité de l'économie mondiale. » L'auteur de ces lignes ? Le professeur Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, ancien conseiller de Bill Clinton, qui en novembre 1999 a démissionné de son poste d'économiste en chef et vice-président de la Banque mondiale : « Plutôt que d'être muselé, j'ai préféré partir », expliquera-t-il. Son livre est un constat qui vaut réquisitoire : preuves à l'appui, il démontre que les règles du jeu économique mondial ne sont souvent fixées qu'en fonction des intérêts des pays industrialisés avancés - et de certains intérêts privés en leur sein -, et non de ceux du monde en développement. Car, en effet, la mondialisation n'a pas seulement mis l'économie au-dessus de tout, mais aussi une vision particulière de l'économie, le fanatisme du marché. Politique d'austérité, libéralisation des marchés des capitaux et privatisations sont appliquées aveuglément, en dépit de leur échec avéré, à tous les pays, en particulier aux pays en transition et du Sud. À lire Joseph Stiglitz, on a le sentiment de comprendre les vrais enjeux du monde d'aujourd'hui, de saisir toute l'urgence d'une réforme en profondeur du statut et des politiques préconisées par les institutions financières internationales.

SDM
En novembre 1999, l'auteur démissionnait de son poste d'économiste en chef et de vice-président de la Banque mondiale. Il explique les raisons de cette décision dans cet ouvrage qui est une remise en cause des politiques d'austérité, de libéralisation des marchés et de privatisations prônées par cet organisme et le Fonds monétaire international. Selon lui, le processus de mondialisation, tel qu'il est conduit par les grands décideurs économiques et politiques, présente davantage d'inconvénients que d'avantages. Il s'en prend tout particulièrement aux politiques du FMI.

http://www.amazon.fr/exec/obidos/tg/detail/-/books/2253155381/reviews/ref=ed_er_dp_1_1/402-9240247-1178522
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