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 Contrôle de la monnaie

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mihou
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mihou


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Localisation : Washington D.C.
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08062005
MessageContrôle de la monnaie

Contrôle de la monnaie -

Vers la fin du 19ème siècle, les banques dépendant des Rothschild entamèrent une grande campagne pour mettre sous leur contrôle la riche économie des États-Unis. Les Rothschild d’Europe financèrent la banque de J. P. Morgan & Co. , la banque de la Khun Loeb & Co. , la Standard Oil Co. De John D. Rockefeller, les chemins de fer Edward Harriman et les aciéries Andrew Carnegie. Ce lien signifiait sûrement plus que d’avoir seulement un pied dans l’économie américaine. Vers 1900, les Rothschild envoyèrent un autre agent aux États-Unis, Paul Warburg, pour collaborer avec la Khun Loeb & Co. Bank. Retenez bien le nom de cette « agent » des Rothschild qui tissera un réseau entre de nombreuses organisations. Jacob Schiff et Paul Warburg entamèrent une campagne pour ériger la FEDERAL RESERVE BANK et en faire une banque centrale privée solidement implantée en Amérique.

Jacob Schiff fit, en 1907, à la chambre de commerce de New York, le discours suivant : « Si nous n’avons aucune banque centrale qui surveille suffisamment les fonds de crédit, ce pays connaîtra la plus sévère et la plus profonde crise monétaire de son histoire ».

Aussitôt dit, aussitôt fait, ils plongèrent alors les États-Unis dans une crise monétaire ; la panique qui en résultat sur le marché du capital ruina la vie de dizaine de milliers d’hommes dans tout le pays. La panique à la bourse de New York rapporta aux Rothschild, outre plusieurs milliards de dollars, le succès souhaité. C’était astucieusement pensé, on se servit de la panique comme argument pour créer enfin une banque centrale afin d’éviter des incidents de ce genre.

Paul Warburg déclara aux Comité de la banque et du fonds monétaire : « La première chose qui me vint à l’esprit suite à cette panique a été la nécessité d’avoir une banque centrale nationale ».

La version définitive de l’accord introduisant le FEDERAL RESERVE SYSTEM (la banque centrale privée d’Amérique) a vu le jour dans une propriété privée de J. P. Morgan sur Jekyll Island en Georgie. La création en secret de la ¨Federal Reserve¨ en 1913 par un consortium privé, permit alors aux banquiers internationaux de consolider leur puissance financière aux États-Unis. Paul Warburg devint le premier président de la New York Federal Reserve Bank.

Le décret de la FED était suivi de l’introduction du 16ème article complémentaire de la Constitution américaine qui donnait, désormais, le droit d’imprimer son propre argent pour financer ses opérations. Ce fût la première fois dans l’histoire depuis la création des États-Unis que le peuple devait payer des impôts sur le revenu. Le membre du Congrès Charles Lindbergh disait déjà à ce moment-là en parlant de la nouvelle Federal Reserve bank que sa puissance financière faisait d’elle :« Le gouvernement invisible ».

Comment fonctionne, à vrai dire, cette banque ? Le comité du marché libre de la FED produits des billets de la Federal Reserve (des dollars). Ces billets sont prêtés au gouvernement des États-Unis en échange d’obligations qui servent de sécurité à la FED. Ces obligations sont entre les mains des douze banques fédéral qui en touchent annuellement des intérêts.

Remarque sur la situation actuelle : en 1982, le fisc des États-Unis accusait une dette d’environ 1.070 Milliard de dollars. La FED récolta donc environ 115,800 millions de dollars d’intérêts sur une seule année, payés par les contribuables américains à même leurs impôts. Le capital ainsi récolté de ces intérêts va tout droit dans les poches de la FED, donc dans celles des banquiers privés internationaux.

En 1992, les obligations possédées par la FED étaient d’une valeur d’environ 5,000,000 millions de dollars et les intérêts à payer par les contribuables montent constamment. C’est la FED qui créé tout ce capital en prêtant de l’argent au gouvernement américain, donc au peuple, et en touchant des intérêts élevés, elle n’a eu qu’à payer les frais d’impression pour les billets. En plus la FED, grâce aux obligation du gouvernement américain, a le droit de gage sur les propriétés publiques et privées de tous les États-Unis. D’innombrables procédures juridiques sont restées jusqu’ici sans effet et n’ont pu annuler la loi de la Federal Reserve Bank. Cette situation prévaut aussi au Canada par le biais de la Banque Centrale du Canada (voir La Banque du Canada).

Juridiquement, il n’y a aucune possibilité pour les citoyens de récupérer leur argent, puisque la FED n’est pas un département du gouvernement américain mais une institution privée à statut fédéral. D’après le droit constitutionnel, la FED n’aurait même pas le droit d’exister. C’est pourquoi neuf États des États-Unis ont déjà entamé une procédure d’états pour annuler la FED. Au Canada aucune procédure n’a été intenté contre la Banque Centrale qui est, elle aussi, une institution privée à statut fédéral.

C’est la plus grande duperie de l’histoire des États-Unis ainsi qu’au Canada et personne ne l’a remarquée.

LE SYNDIC DE SAISIE ROTHSCHILD



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- Le cartel banquaire mondiale -

À toutes les époques de l’histoire, il y a eu des rois et des dictateurs qui avaient la réputation de dépenser plus d’argent qu’ils ne pouvaient en soustraire à leur peuple en lui faisant payer des impôts. Les nations et les gouvernements empruntaient alors l’argent nécessaire aux banques. Mais comment les banques récupéraient-elles cet argent si le gouvernement ne pouvait ou ne voulait pas payer ? La seule solution était la guerre.

La manière dont les banques financent les gouvernements fait penser à une institution de crédit qui prête de l’argent à un client pour qu’il puisse s’acheter une voiture. Si le client ne peut plus payer ses traites, la voiture est saisie. Le même système est appliqué pour le financement des gouvernements. Il ne faut pas prêter de l’argent à un seul pays. Il faut agir de même avec le pays adverse. Le prêteur doit s’assurer que les deux pays sont d’égale puissance pour qu’en cas de conflit, le financement soit le facteur déterminant.

Si un pays ne paie pas, le prêteur menacera ce pays de guerre par l’intermédiaire d’un autre pays. Si le premier pays refuse toujours de payer, le prêteur mettra la mainmise sur lui en se servant de l’autre pays qui fera du premier pays son butin de guerre. La maison Rothschild travaille depuis environ 160 années d’après ce concept (voir Sages des Sion, protocoles 9).

Nathan Rothschild et ses frères commencèrent à jouer ce jeu au siècle dernier en Europe, après leur succès remporté lors des guerres napoléoniennes. À cette époque-là se développa en Europe l’équilibre des forces. Pour renforcer sa position de dominateur invisible en Europe, la maison Rothschild dût édifier deux puissances de force presque égale pour assurer l’équilibre des forces. Les Rothschild devaient s’assurer que tous les rois du camp A pouvaient être menacés par tous les rois du camp B. ils finançaient, bien sûr, les deux camps. Mais il fallait alors une troisième puissance qui pourrait servir de police d’assurance au cas ou l’un des pays quitterait les rangs.

Ce pays était l’Angleterre de Nathan qui avait, désormais, la suprématie en Europe. C’était facile de prévoir la fin d’une guerre : il suffisait d’observer vers quel côté penchait l’Angleterre, car elle se trouvait, en fin de compte, toujours aux côtés du gagnant. L’Angleterre ou disons plus justement la Couronne, fournissait un syndic de saisie royal si efficace que la maison Rothschild finit par contrôler, en ce début de siècle, la moitié des biens de ce monde.

LA FIN PROGRAMMÉE DE LA DÉMOCRATIE



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- Le pouvoir a déjà changé de mains -

Les véritables maîtres du monde ne sont plus les gouvernements, mais les dirigeants de groupes multinationaux financiers ou industriels, et d'institutions financières opaques (FMI, Banque mondiale, OCDE, OMC, banques centrales). Mais ces responsables ne sont pas élus, malgré l'impact de leurs décisions sur la vie des populations. Le pouvoir de ces organisations s'exerce sur une dimension planétaire, alors que le pouvoir des états est limité à une dimension nationale. Par ailleurs, le poids des sociétés multinationales dans les flux financiers a depuis longtemps dépassé celui des états.

A dimension transnationale, plus riches que les états, mais aussi principaux bailleurs de fonds des partis politiques de toutes tendances et dans la plupart des pays, ces organisations sont de fait au-dessus des lois et du pouvoir politique, au dessus de la démocratie.

Voici une liste des chiffres d'affaires de certaines multinationales, comparés avec le PNB des états. Elle en dit long sur la puissance planétaire que ces sociétés sont en train d'acquérir.

Une puissance toujours plus démesurée, du fait de l'accélération des fusions de multinationales en « multinationales géantes », véritables conglomérats-économiques.



- Chiffres d'affaires ou PIB, en milliards de dollars -



ENTREPRISES & PAYS CHIFFRE D'AFFAIRES
General Motors 178,2
Danemark 161,1
Thaïlande 157,3
Ford 153,5
Norvège 153,4
Mitsubishi & Co 142,8
Pologne 135,7
Afrique du Sud 129,1
Royal Dutch Shell 128,1
Itoshu 126,7
Arabie Saoudite 125,3
Exxon (Esso) 122,4
Wall Mart 119,3
Ford 100,1
Grèce 119,1
Finlande 116,2
Marubeni 110,2
Sumimoto 109,3
Malaisie 97,5
Portugal 97,4
Singapour 96,3
Toyota 95,2
Israel 92
General Electric 90,8
Philippines 83,1
IBM 78,5
NTT 77
Axa - UAP 76,9
Egypte 75,2
Chili 74,3
Irlande 72
Daimler-Benz 71,5
British Petroleum 71,2
Venezuela 67,3
Groupe Volkswagen 65,3
Nouvelle Zélande 65
Unilever 43,7
Pakistan 41,9
Nestle 38,4
Sony 34,4
Egypte 33,5
Nigeria 29,6




Chiffres 1999, sauf les chiffres en BLEU à la fin de la liste qui datent de 1992. SOURCES: Banque Mondiale (World Development Repport 1998-1999), Forbes, The Nation, Institut de recherche des Nations Unies pour le développement social (States of Disarray, Genève, 1995), Courrier International, Le Monde Diplomatique



- L'illusion démocratique -
La démocratie a déjà cessé d'être une réalité.

Les responsables des organisations exerçant le pouvoir réel ne sont pas élus, et le public n'est pas informé de leurs décisions. La marge d'action des états est de plus en plus réduite par des accords économiques internationaux pour lesquels les citoyens n'ont été ni consultés, ni informés. Tous ces traités élaborés ces cinq dernières années (GATT, OMC, AMI, NTM) visent un but unique: le transfert du pouvoir des états vers des organisations non-élues. Une suspension proclamée de la démocratie n'aurait pas manqué de provoquer une révolution. C'est pourquoi il a été décidé de maintenir une démocratie de façade, et de déplacer le pouvoir réel vers de nouveaux centres. Les citoyens continuent à voter, mais leur vote a été vidé de tout contenu. Ils votent pour des responsables qui n'ont plus de pouvoir réel. Et c'est bien parce qu'il n'y a plus rien à décider que les programmes politiques de « droite » et de « gauche » en sont venus à tant se ressembler dans tous les pays occidentaux.

Pour résumer, nous n'avons pas le choix du plat mais nous avons le choix de la sauce. Le plat s'appelle « nouvel esclavage », avec sauce de droite pimentée ou sauce de gauche aigre-douce.



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