Falsication de l’Histoire de l’humanité
Source africamaat.com
L’AFRIQUE NOIRE A CIVILISE l’EUROPE : Des preuves scientifiques irréfutables ! ! !
LORSQU’IL S’AGIT D’APPRÉCIER L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ, LES DONNÉES HISTORIQUES RELATIVES À L’AFRIQUE NOIRE NE SONT PAS PRISES EN COMPTE. NOUS ALLONS DONC ENSEMBLE RECTIFIER LE TIR ET TACHER DE COMPRENDRE POURQUOI .
Lorsqu’il s’agit d’apprécier l’essor de la civilisation en Europe, pour masquer le fait que les Grecs anciens ont largement reconnu qu’ils devaient aux Africains anciens les fondements de leur civilisation, les historiens actuels utilisent l’euphémisme du fameux « Miracle Grec » pour noyer le poisson et masquer les faits.
Ce dogme eurocentriste veut que les Européens anciens, bien qu’ils aient été en mesure de raconter l’histoire de tous les pays situés près de leurs frontières, n’ont pas été capables de raconter l’histoire de leur propre pays de façon objective. En langage clair, cela s’appelle « prendre les gens pour des imbéciles » !
Voyons les faits !
Lorsque la civilisation hellénique prend son envol, l’Afrique noire a déjà fait germer la civilisation depuis près de 3 500 ans, si on tient compte de l’avènement des premiers rois Nègres soudanais dit « Suivants d’Horus » vers 4 000 avant J. C. (Dynastie dite zéro (sic)).
L’étude de la documentation historique révèle que c’est principalement par des échanges soutenus avec l’Afrique noire (Egypte, Ethiopie), que l’Europe va progressivement sortir de la barbarie pour accéder à la civilisation. Tels sont les faits scientifiques indiscutables !
John Boardman, le célèbre archéologue britannique formé à l’Université d’Oxford, a mené de nombreuses fouilles en Crète et en Grèce pour tenter de saisir la source d’inspiration des architectes grecs. Ses conclusions sont explicites (Cf. The Greeks overseas. The Archaeology of their early colonies and Trade, Londres, Penguin Books Ltd, 2ème édition, chapître 4, 1973) :
« C’est en visitant l’Egypte que les Grecs ont vu pour la première fois de colossales constructions de pierres utilisant la pierre taillée, et des colonnes taillées et décorées à leurs extrémités. Chez eux, les Grecs utilisaient la brique de terre, le bois et réalisaient de pittoresques construction en maçonneries (...) Vers la fin du VIIIème siècle, les architectes grecs s’ingéniaient à égaler le style égyptien, non pas en l’imitant dans ses détails mais en l’adaptant à leurs formes d’architecture locale. C’est ainsi que naquit en Grèce, la colonne dorique qui a pour origine directe et immédiate la colonne égyptienne, avec ase et chapiteau ».
En publiant un ouvrage en 3 volumes intitulés « Black Athena », le professeur Martin Bernal de l’université de Cornell aux USA, a examiné ces faits à la loupe (Cf. Black Athéna, tome 1). Il nous fait d’ailleurs remarquer que :
" Pour Platon, quand on voulait retrouver les anciennes institutions d’Athènes, il fallait se tourner vers l’Egypte. En ce sens, il rejoignait Isocrate qui à la fois réclamait une union panhellénique d’Athènes et de Sparte et exaltait la constitution égyptienne, version plus pure de la constitution lacédémonienne. Plus on allait vers les véritables racines helléniques de la Grèce plus on se rapprochait de l’Egypte. Pourquoi ? Parce qu’Isocrate et Platon soutenaient que les grands législateurs et philosophes comme Lycurgue, Solon et Pythagore, avaient acquis leur savoir en Egypte. Isocrate et Platon croyaient aussi tous les deux aux colonisations (égyptiennes) de Pélops (Héro du Péloponèse, ancêtres des Atrides famille de la mythologie Grecque dont font partie Agamemnon et Ménélas, qui fut roi de Sparte, de "Sp3t" en égyptien qui veut dire nome), Cadmos, Aegyptos et Danaos et, tout comme Hérodote, semblaient accepter l’idée que les « barbares » avaient apporté avec eux un important bagage culturel. (...) Les deux plus grands intellectuels du début du IVème siècle avant J.C., furent contraints d’admettre l’importance capitale de la colonisation étrangère et des emprunts culturels massifs faits à l’Egypte et au Levant dans la formation de cette civilisation hellénique ».
Et Martin Bernal poursuit en reprenant l’affirmation de Mitford :
"L’Assyrie était un empire puissant, l’Egypte un pays très peuplé, régi par un système politique très raffiné et Sidon une ville opulente pleine d’ateliers et très commerçante, à une époque où les Grecs à ce qu’on dit, ignorant tout des arts les plus élémentaires et les plus nécessaires, se nourrissaient de glands. Et pourtant la Grèce fut le premier pays d’Europe à sortir de la barbarie. Il semble bien qu’elle n’ait dû cet avantage qu’à sa fréquentation des nations civilisées d’Orient".
Ainsi, les travaux réalisés dès 1788 par l’historien, linguiste et homme d’église, l’abbé Barthélemy, confirmèrent cette opinion largement admise par les historiens européens anciens (Cf. Le voyage du jeune Anacharsis en Grèce) :
"Ainsi les Grecs sortis de leurs forêts, ne virent plus les objets sous un voile effrayant et sombre ; ainsi les Egyptiens transportés en Grèce, adoucirent peu à peu les traits sévères et fiers de leurs tableaux".
Là-dessus, John Boardman, ajoute (Cf. idem) :
"La moulure en creux dans un ouvrage architectural vient directement d’Egypte en Grèce et fut porté a son apogée dans les constructions à Athènes (...) L’influence égyptienne est également sensible dans l’art grec notamment à propos des célèbres statues de jeunes gens nus, Kouroi ».
Mais il s’agit en fait bien plus qu’une simple influence puisque le grec Diodore de Sicile nous apprend que (Cf. Livre I) :
"Parmi les sculpteurs antiques, les plus renommés ont séjourné chez eux (les Egyptiens) : ce sont Téléclès et Théodoros, les fils de Rhoicos qui ont exécuté la statue de culte d’Apollon Pythien, pour les Samiens".
Pour nous prouver que ce qu’il dit est juste, Diodore nous apprend que les artistes et architectes Grecs partaient se faire former en Afrique noire. C’est en analysant leur façon de sculpter la pierre qu’il l’a compris. L’une de ces techniques consistait à sculpter par exemple, le haut d’une statue dans une ville (comme le fit Téléclès à Samos) et le bas dans une autre ville (comme le fit Théodoros à Ephèse) et à faire en sorte que les deux parties s’assemblent parfaitement.
Sur cette méthode, Diodore affirme CATEGORIQUEMENT qu’il n’y a qu’en Afrique noire que les sculpteurs travaillent de la sorte (ceci prouve le long séjour de ces sculpteurs grecs en Egypte) :
"Cette façon de procéder n’est pas du tout en usage chez les Grecs, tandis qu’elle est particulièrement pratiquée chez les Egyptiens".
En matière d’architecture, l’invention de la colonne est encore un fait africain confirmé par l’UNESCO (CF. Histoire Générale de l’Afrique, tome 2, UNESCO) qui ajoute que la création de la voûte peut être aussi rattaché à l’Egypte (la voûte en brique datant de la 2ème dynastie, vers 2 900 avant J.C. devint une voûte en pierre dès la 6ème dynastie), sans oublier l’art de construire des jardins, les systèmes d’irrigation, les bassins artificiels et l’urbanisme en général (le goût égyptien du jardin-parc se transmit plus tard à la Rome antique).
Passons maintenant a l’analyse scientifique des faits par l’image.
Toutes les premières sculptures réalisées par les Européens vers 600 av. J.C., telles :
- les jumeaux de Delphes, Cléobis et Biton" vers le milieu du VIème siècle av. J. C.,
- le « Petit Apollon » de l’art Naxien (musée de Berlin),
- le « Kouros colossal » de l’art samien daté du 570 av. J. C. (musée de Samos),
KOUROS COLOSSAL - ART SAMIEN - 570 av. J.C -
- le « Kouros attique » réalisé vers 600 av. J. C. (metropolitam museum),
- le « Kouros en marbre » sculpté vers 520 av. J. C. (musée d’athènes),
KOUROS EN MARBRE - 520 av. J. C. - MUSEE D’ATHENES
- voire la Sphinge (art Naxien)...
Toutes ces sculptures, ne sont en fait que de simples copies du style artistique égypto-nubien.
C’est à dire que nous tenons là une preuve formelle que l’Afrique noire a bien civilisé l’Europe dans l’antiquité car toutes ces sculptures ne sont en fait que des copies fidèles de l’art négro-égyptien.
Mêmes les rapports de proportions mathématiques, permettant à partir d’un bloc de pierre de situer les différentes parties du corps qui vont être par la suite sculptées, sont identiques. Les Kouros s’inscrivent parfaitement dans les 22 carreaux du canon des africains anciens de la période pharaonique.
Mieux encore !. Les sculptures africaines qui datent de 2500 av. J. C. ont :
- les épaules droites,
- les bras droit le long du corps,
- les poings fermés,
- la tête droite,
- la jambe gauche en avant.
Que constatons-nous ? Les sculptures européennes faites vers 600 av. J. C. ont :
- les épaules droites,
- les bras droit le long du corps,
- les poings fermés,
- la tête droite
- et surtout la jambe gauche en avant.
Qui plus est, les têtes européennes arborent de magnifiques tresses africaines ! ! !
Sculptures africaines
CHONSOU IR AA : 25ème DYNASTIE
RAMSES II - 1300 av. J. C.
Il ne fait aucun doute que les premiers artistes euroépens ont reçu leurs connaissances de l’Afrique noire !
Ven 24 Juin - 8:05 par Gnata